Selon nos sources, un gang médite désormais son sort entre les mains de la police judiciaire à Kentzou dans la région de l’Est pour une affaire de Whisky frelaté.

Trois hommes se réclamant de majordomes ont été mis aux arrêts par les éléments du commissariat de Kentzou, arrondissement de l’Est, département de la Kadey, région de l’Est.
En effet, apprend lebledparle.com, c’est le 4 novembre 2109 qu’a été déniché le groupe d’hommes dont la profession de l’ombre est la fabrication des whiskys et du vin frelaté.
« Cette activité mafieuse est centrée sur des mélanges sans contrôle technique déversés sur le marché de consommation », explique les enquêteurs.
Ainsi, des stratégies ont été employées pour démanteler ces personnes qui concurrencent le marché légal des produits.
« On a fait une recherche auprès des personnes qui sont spécialistes dans le faux et ceux qui frelatent. C’est après les premiers rapports de nos enquêtes que nous avons été convaincus que ces hors la loi font des mélanges des jus et de whisky. Il y a certains qui, à la place du jus embouteillé, brûlent du sucre pour trouver la coloration. D’autres qui, pour une bouteille, fabriquent trois bouteilles à partir d’une bouteille d’après leurs explications. Ils vont par la suite mettre cette bouteille mélangée avec de l’eau et prendre certains colorants tout de suite pour en faire plusieurs. Immédiatement, ils font écouler leurs produits sur le marché », a confié une source policière.
Interrogé, l’un des interpellés explique le processus de fabrication de ces produits frelatés : « On prend deux bouteilles de whisky d’origine pour en fabriquer quatre à six bouteilles. Le mélange se fait avec le coca whisky. Nous le faisons à la demande des clients. Ces whiskies que nous fabriquons sont à la portée des organisateurs des cérémonies. Les clients achètent pour des cérémonies multiples. Dès que les clients passent la commande, le processus de fabrication est lancé. Nous achetons le whisky d’origine pour faire le mélange. Les clients savent ce qu’ils achètent car le prix est relativement bas. Nous ne les trompons pas. Ils connaissent la qualité du produit acheté par les connaisseurs lors de l’organisation de leurs cérémonies », détaille Jules Cédric Souffo, un élément du groupe des contrefacteurs.