M.V.Z Lebledparle.com,
D’après les sources, un gendarme a ôté la vie à un homme avec qui il se discutait une fille de nuit, puis a succombé à la vindicte populaire.
Les faits tels que relatés, sont semblables à un film à l’eau de rose avec pour dénouement le drame de deux acteurs principaux.
Le film du drame…
La scène se déroule à Massagam dans le département du Noun, région de l’Ouest ce 3 janvier 2019. Dans sa situation initiale, il s’agit de deux acteurs principaux ; un gendarme et un civil tous deux à la convoitise d’une « fille de nuit ».
Puisque l’Homme est un loup pour l’homme comme le disait Thomas Hobbes et que tous les moyens sont bons pourvu qu’’ils soient efficaces selon Jean Paul Sartre, l’homme en tenue a voulu user de son pouvoir pour « écraser » son vis-à-vis pour mieux régner.
Ayant émis les soupçons sur son rival, il décide se rendre au domicile de ce dernier en compagnie de deux de ses collègues afin de l’intimider.
Selon les sources, les gendarmes arrivent au domicile de l’autre prétendant de la « fille de joie » en son absence et prennent la résolution de lui téléphoner.
Dès son retour, ceux-ci tentent de l’embarquer pour une garde à vue, lequel leur oppose une résistance rude au cours d’une bagarre.
Sur ces entraits, rapportent les témoins, « le gendarmes sort son arme et tire à bout portant sur son rival » ; le drame se produit.
Œil pour œil dent pour dent…
Suite à ce drame, les populations s n’ont cherché de midi à 14h car elles se sont déchainées sur le fonctionnaire du ministère de la défense qui venait de mettre fin aux jours de son compatriote pour une femme quelconque.
C’est ainsi que la Justice populaire s’est saisie du bourreau, « le battre à mort et le décapiter par la suite », relaie Le journal du Cameroun.
L’épicentre de la dispute
Lebledparle.com apprend par ailleurs que la scène aurait débuté le 1er janvier dans une buvette où le gendarme courtisait la fille dont le civil était cavalier.
Une situation qui a causé une altercation au point d’attirer l’attention des forces de maintien de l’ordre qui sont intervenues après que le rival du gendarme a pris la poudre d’escampette.
Le film se termine donc sous un ton tragique et pathétique avec un objectif non atteint d’aucun coté.
En attendant les résultats de l’enquête, l’on se rappellera toujours les paroles d’un sage : deux choses divisent les hommes ; la femme et les biens matériels.
