Pas très connue du grand public il y a encore quelques temps, la journaliste d’Equinoxe Tv vient sans doute d’écrire une nouvelle histoire à la fois pour elle et pour la presse camerounaise. Pas très connue du grand public il y a encore quelques temps, la journaliste d’Equinoxe Tv vient sans doute d’écrire une nouvelle histoire à la fois pour elle et pour la presse camerounaise. LeBledParle.com en profite pour vous dresser son parcours express.
Originaire du département de la Mifi dans la région de l’Ouest, précisément de Baleng de part son père, et de Bali Nyongha, dans la région du Nord-Ouest du Cameroun de part sa mère, Mimi Mefo Takambou est une passionnée de chant et de danse puisque ayant été Majorette durant ses années de lycée.
Après son GCE A à Bali Nyongha, Mimi s’inscrit au département de « journalism and mass communication » à l’Université de Buea, où elle obtient un Bachelor en journalisme en 2011. Diplôme qui va lui permettre d’accéder au monde professionnel.
Immédiatement après avoir obtenu son diplôme de l’Université de Buea, elle choisi de travailler avec HI TV dans la région du Sud-Ouest de Buea. Elle y travaille pendant un an avant de rejoindre le bureau anglais de la télévision et de la radio Equinoxe à Douala.
À la télévision et à la radio Equinoxe, Mimi a assumé différentes responsabilités, telles que la présentation des informations télévisées et radiophoniques, la réalisation de reportages sur le terrain, la représentation du groupe dans certaines activités sociales et humanitaires.
Depuis plus de quatre ans, elle a réalisé de nombreuses autres enquêtes, notamment dans la crise Anglophone. Le 11 février 2018 par exemple comme l’avais rapporté Médiatude, alors que la région du nord-ouest est sous couvre-feu depuis le 09 février, les reporters d’Equinoxe TV sont envoyés sur le terrain pour « rendre compte » de la situation à Batibo, département de la région du Nord-Ouest où 3 gendarmes sont tués et un sous-préfet enlevé. MIMI MEFO fait partie des rares visages féminins présents « au front » en immersion totale dans ce foyer d’insécurité, là où se multipliaient tirs et kidnapping alors que la région du nord-ouest est sous couvre-feu depuis le 09 février.