Le 25 janvier 2020, le président du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale(PCRN) s’est rendu à Edéa, département de la Sanaga Maritime, région du Littoral.
Le Samedi 25 janvier dernier, Elections Cameroon(Elecam) a sifflé le début de la campagne électorale des législatives et municipales qui durera 14 jours sans un instant de mi-temps, encore moins un temps additionnel.
Depuis lors, les candidats des différents partis politiques en lice se déploient sur le terrain, question de séduire l’électorat à travers leurs projets de société.
La séduction de Cabral Libii
Au stade Saint Palmier d’Edéa ce samedi 25 janvier 2020, c’est une foule immense venue accueillir Cabral Libii. Youyous et chants d’allégresse, les selfies à profusion, Cabral Libii en a eu droit en ces lieux.
Bien que le président du PCRN ne soit pas candidat dans cette localité, il a toutefois remis en confiance les potentiels électeurs au nom de ses camarades de parti qui y postulent.
« Il ne faut pas douter, il ne faut pas avoir peur. L’offre politique du PCRN aux législatives, aux municipales ici à Edéa est certainement la meilleure et nous réitérons l’engagement. C’est pour ça que je viens ici. Bien que je ne sois pas moi-même candidat, mais je suis candidat à être député, député de la Nation », a rassuré le juriste.
Pour l’homme politique, sa présence à Edéa augure du sérieux et de l’accompagnement qu’il assure à ses camarades de parti partout où ils se sont présentés : « Vous me voyez aujourd’hui accompagnant mes camardes. Je crois que suis probablement le seul président national d’un parti politique qui va se mette au service de ses camarades partout où ils sont candidats », a déclaré l’Universitaire au microphone de Canal 2 International.
De mémoire, Cabral Libii Li Li Ngue a été candidat à l’élection présidentielle du 7 octobre 2018 où il a occupé le troisième rang après Paul Biya et Maurice Kamto.
Pour l’échéance électorale 2020, l’ancien journaliste de radio Campus est candidat à la députation. Une fois élu député (si les chose se passent bien, Ndlr), l’initiateur du Mouvement 11 millions des jeunes dit être plus « porté à aller contrôler que légiférer ».
La vérité des urnes sera connue au soir du 9 février 2020 !