Le dimanche 25 septembre, le président de APAR n’a pas accepté les critiques de Anicet Mani mais aussi la répartition du temps de parole sur l’affaire FECAFOOT et Samuel Eto’o et a quitté le plateau de Vitrine 237.
L’homme politique a d’abord trouvé injuste la répartition du temps aux panélistes. « La Fécafoot, de Samuel Eto’o est solide » a-t-il répondu malgré les rires moqueurs du présentateur et de certains autres panélistes. Parce que 1 : le résultat est là, la Fecafoot est solide. Que ça divise les camerounais… Mahomet a divisé les musulmans, Jésus a divisé les chrétiens et Bouda a divisé les asiatiques, c’est tout à fait normal que Samuel Eto’o divise… », a-t-il poursuivi avant de se voir interrompre par Sylvain Tchokoga qui lui a rappelé qu’il ne lui restait qu’ « une minute ». Ce qu’il a trouvé « injuste » car, il en revendiquait cinq.
« Mes co-panélistes ont parlé cinq minutes. Je n’aime pas cette injustice. Le présentateur me donne la parole à la fin pour me dire qu’il me reste une minute, quelques secondes. C’est injuste, je n’accepte pas la gestion du présentateur, c’est injuste, c’est inéquitable », a-t-il lâché malgré les fous rires des autres intervenants qui ont pensé qu’il « n’avait rien à dire en réalité », d’où ses plaintes. Mais il a quand même poursuivi son raisonnement.
« Je suis en train de dire que ce que la société demande aux gens de la Fécafoot c’est de respecter les textes. Maintenant, au niveau technique, est-ce qu’Eto’o fait du bon travail ? la réponse pour moi…», s’est-il arrêté parce que gêné par les fous rires du présentateur.
Le président national de l’APAR a quitté le plateau de Vitrine 237 par la suite. Et de promettre ensuite à Sylvain Tchokoga qu’il ne reviendra « plus jamais sur son plateau ».
Une attitude que le présentateur a retourné contre lui. « On prend le public à témoin, c’est un président de parti politique. J’espère qu’il assume les conséquences de cet acte qu’il vient de poser ici lors de cette émission, lui qui a régulièrement pris part à cette émission avec énormément de temps de prises de parole », a justifié Sylvain Tchokoga.