D’après nos sources, des résidents ont été chassés de leurs maisons à Assok, accusant Madame Esseneme, une fonctionnaire du ministère de la Justice, d’être responsable de ces violences. Dans une lettre adressée au président de la République, le Professeur Shanda Tonme, Médiateur Universel, a dénoncé ces attaques et qualifié les auteurs d’actes de terrorisme qui défient l’autorité de l’État.
Inaction des autorités
Cette situation alarmante a été soulignée par le Pr Jean-Claude Shanda Tonme dès juin 2022, lorsqu’il a dénoncé « une barbarie génocidaire ». Il a réitéré son appel à l’intervention du gouverneur, mettant en garde contre les conséquences tragiques que pourrait entraîner l’inaction des autorités. Madame Régine Essemene, Avocate Générale à la Cour Suprême, est identifiée comme le commandant opérationnel de ces agressions.
Il est urgent d’intervenir pour rétablir l’ordre et la paix dans la région d’Assok. Les autorités doivent prendre des mesures concrètes pour protéger les droits et la sécurité de tous les citoyens, quelle que soit leur origine ethnique. Il est également essentiel que les responsables de ces actes de violence soient traduits en justice. La stabilité sociale et l’harmonie interethnique sont des éléments fondamentaux pour le bien-être de la nation camerounaise.
Il est crucial que les autorités prennent cette situation au sérieux et agissent rapidement pour mettre fin à ces tensions ethniques. Assok a besoin de paix et de sécurité pour que ses habitants puissent vivre en harmonie.