Charlotte Dipanda vient d’être reçue sur les antennes de Radio Audace à Douala, en prélude à ses spectacles inédits du 31 mai, 01 juin et 07 juin.
Actualité obligeant, la diva de la chanson camerounaise a été invitée à commenter l’actualité au sujet de sa morphologie qui fait l’objet des échanges houleux sur la toile depuis quelques jours.
« C’est de la diffamation ! Dans certains pays c’est répréhensible ! Faites attention à ce que vous dites.
Tu peux dire bah « Charlotte tu n’es pas en bonne santé » c’est quelqu’un qui se soucie de l’autre.
Mais quand on commence à se disputer, ouais, c’est une mauvaise femme, mais même si c’est le cas, tu ne vas pas me sortir d’un mariage toxique avec tes méthodes ! Ce n’est pas la bonne façon de procéder, lorsque vous voulez protéger quelqu’un, quelles que soient vos croyances et vos convictions, rapprochez-vous déjà de cette personne pour être sûr qu’elle est en bonne santé, que tout se passe bien dans sa vie ».
Charlotte Dipanda : « Ils me ressemblent »
Bien sûr, ce n’est pas tout le monde qui critique Charlotte. L’artiste compte heureusement encore plusieurs de ses fans qui la soutiennent dans ses moments difficiles.
« Ils sont peut-être peu nombreux, mais ils me ressemblent. Ils ont cette gentillesse que je partage avec eux mais les autres, vraiment, je ne les veux pas comme fans ! », a-t-elle lancé.
Et, d’un cran, le ton est monté.
« D’ailleurs, je ne dois rien à personne, être artiste ne veut pas dire ça…
Occupez-vous de mes affaires professionnellement parlant. Si je fais un album moins couru, si je fais une chanson que vous n’aimez pas, n’hésitez pas à en parler. Bon, comme je t’appartiens, viens remplir les salles ! C’est la meilleure façon de me montrer ton amour !!! Le reste est vraiment inutile et inutile car cela ne nous fait pas avancer.
Ok, une fois que tu ne m’as pas insulté, tu paies ton loyer ?? Êtes-vous hors de pouvoir ?? Les routes sont-elles bonnes ?? Avez-vous de l’eau potable à la maison ? À un moment donné, il faut quand même s’arrêter », va ajouter Charlotte Dipanda.