Les roses douces et fraiches semblent avoir complètement fané et tombé entre le chanteur Ivoirien, Debordo Leekunfa et la jeune Camerounaise Aline Ngono. Depuis ce weekend, c’est sur la toile que les désormais ex-partenaires versent et se disent tout, sauf des mots doux, du bon vieux temps.
Tout commence le vendredi 31 mai 2024 lorsqu’une dame du nom de Ngono Aline fait irruption sur toile et se présente comme la partenaire de l’artiste populaire ivoirien Debordo Leekunfa. Dans un direct, la jeune femme en pleurs, affirme être en danger, elle, ainsi que ses proches.
Debordo en veut à ma vie et pas seulement la mienne même celle de mes amies.
« Je suis pourchassée. Je vis comme une fugitive. Débordo m’en veut, il en a après moi. Croyez-moi si je vous dis qu’il en a après moi c’est que c’est le cas. Beaucoup n’ont jamais su qu’il avait une femme chez lui, aujourd’hui je me place devant vous et je dis, eh oui ! Il en avait une et c’était moi. Je vous jure que si je devais revenir en arrière j’aurais certainement voulu ne pas croiser son chemin car ce que je vis aujourd’hui c’est un véritable calvaire. Debordo en veut à ma vie et pas seulement la mienne même celle de mes amies. Il les traque. Il a fait enlever l’une de mes copines de 21h à 4h du matin sous mes yeux. », déclare dame Ngono.
Et elle poursuit : « Tout commence en novembre lorsque je dis à Debordo que je suis fatiguée de souffrir et d’attendre que tu changes, que tu me traites comme une serpillière. Debordo ne m’a jamais laissé travailler. Je l’ai toujours respecté. Je ne sortais pas, jai déprimé, j’ai pris du poids car je pouvais faire cinq mois sans sortir de la maison, j’étais comme dans une prison dorée mais je me disais que je suis une femme au foyer je vais respecter ce qu’il dit. Je me suis trop sacrifiée ».
Envoutement et pratique de sorcellerie
De son côté, Debordo Leekunfa qui a été interpelé, explique qu’il a été victime « d’emprise et de sortilège » et que son ex-femme doit répondre de ces faits devant la loi :
« Je respecte la femme camerounaise mais Aline va payer. J’ai porté plainte contre elle. Elle m’a lié avec des esprits impurs. Elle est en contact avec des féticheurs contre moi. J’ai écouté des voices dans son téléphone. Je n’ai pas envie de l’exposer sinon tous les Ivoiriens vont la détester. J’ai été pendant des années sous son emprise. Elle va faire au moins trois ans de prison », a-t-il promis à Aicha Kamoise.
Pour Aline Ngono, Débordo n’est qu’un ingrat. En effet, « mon histoire avec Debordo a commencé le 24 juillet 2016. Nous nous sommes rencontrés lors d’un de ses voyages à Yaoundé au Cameroun. Je ne savais pas qui était Debordo. Un an plus tard il m’a demandé de venir m’installer en Côte d’Ivoire. Debordo est tombé malade je ne connaissais personne.
Je l’ai traîné dans tous les hôpitaux d’Abidjan. Ma famille m’appelait me demandant de rentrer au Cameroun car s’il meurt on dira que c’est moi qui l’ai tué, mais j’ai dit jamais je ne peux pas laisser mon homme souffrant … Debordo , son manager Eric barwin et moi sommes allés au Cameroun et mon frère prêtre l’a soigné.
C’est après cela qu’il a sorti PIKIMIN qui a bien marché bien au point de sortir une chanson qui prend partout. Mais il a joué les ingrats. Il m’a abandonné au Cameroun pendant dix mois, de surcroit je portais son enfant. L’enfant était mort-né.
Plus tard il est revenu au Cameroun et m’a laissée de l’argent pour que je revienne vivre avec lui à Abidjan. C’est comme ça que je m’installe définitivement à Abidjan en décembre 2017. Je n’aurais pas dû venir m’installer ici. Je vis le cauchemar », livre la Camerounaise