Après avoir décrié l’attitude néfaste de certains médias camerounais face à la crise anglophone, Jean-Jacques Zé a subi des critiques venant d’une catégorie d’internautes. Au sujet de cette polémique, Denis Nkwebo a corroboré la thèse du Directeur de Vision 4.
Le nouveau membre de la Commission nationale des Droits de l’Homme a emboîté le pas de Jean-Jacques Zé en soutenant la pensée substantielle contenue dans sa chronique du 1er mars 2021. « La science de l’opinion s’enseigne dans les écoles de journalisme. Il faut être fou pour croire que des personnes encagoulées constituent un échantillon digne de foi. L’antimodèle prospère sous les cieux du populisme primaire », explique Dénis Nkwebo.
JJZ dénonce
Comme relayé par Lebledparle.com dans un précédent article, l’ancien journaliste de Canal 2 international a estimé dans sa chronique matinale du 1er mars que certains médias surfent dangereusement sur la crise anglophone pour faire grimper leur audience.
« c’est très facile de faire populaire ou populiste au Cameroun. Certaines de nos émissions qui sont de véritables couvercles de marmites qu’on fouette, mais les gens regardent. On pense que lorsqu’il y a 1 million de vue c’est parce que vous avez été pertinent », avait-t-il déploré. « Beaucoup utilisent maintenant cette crise dans le Nord-Ouest et Sud-Ouest comme leur fonds de commerce, comme leur podium. D’ailleurs j’entends une belle expression autour de cette affaire : ‘’sur le théâtre de la crise anglophone’’ ». Une analyse qui a laissé place à des réactions contrastées de critiques d’une part et de soutien d’autre part.