Nahvoma Ewi est morte en tombant du 3e étage d’un immeuble. La jeune entrepreneure a été confrontée à des agresseurs à son domicile et, dans une tentative désespérée d’échapper à l’attaque, elle a chuté mortellement du deuxième étage de l’immeuble où elle résidait. Cette triste histoire rappelle un incident similaire à Yaoundé en juillet dernier.
Deux femmes, prises en otage par des criminels, ont été conduites au dernier étage d’un immeuble dans le quartier Essos. Dans l’appartement loué pour leur travail, les ravisseurs ont exigé le paiement d’une rançon. L’une des otages a contacté un membre de sa famille et a réussi à envoyer la somme de 250 000 FCFA aux malfaiteurs. Cependant, les deux femmes n’ont malheureusement pas retrouvé leur liberté comme promise.
La sécurité dans les grandes villes en question
Quelques heures plus tard, profitant du sommeil de leurs ravisseurs, les deux otages ont réussi à s’échapper par la fenêtre du quatrième étage, autant dans le vide. Malheureusement, l’une des victimes a été amortie dans sa chute par un objet, tandis que la seconde a atterri violemment sur le sol, se fracturant plusieurs parties du corps.
Transportée à l’hôpital central de Yaoundé, elle a déclaré avoir vu des têtes humaines dans l’appartement où elles étaient retenues en captivité. L’un des chefs de la bande a été capturé et est actuellement détenu à la brigade de Nkolmeseng, tandis que les complices sont en fuite. La mort Nahvoma Ewi et la prise d’otage de Yaoundé remet au goût du jour, l’épineuse problématique de la sécurité des personnes et de leurs biens dans nos grandes villes.
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