in

Douala : l’explosion d’une bouteille à gaz blesse 18 étudiants

L’incident s’est produit au quartier Ndogbong, dans le 5e arrondissement de la capitale économique.

Hosto general
Hôpital général-DR

Le mercredi 7 février, une explosion de bouteille de gaz a causé des blessures à 18 étudiants dans un centre de formation d’un hôtel privé à Ndogbong, dans l’arrondissement de Douala V. L’incident a débuté par un incendie qui s’est propagé à une bouteille de gaz utilisée dans la cuisine de l’établissement.

Les étudiants, qui étaient en train de suivre des cours pratiques au moment de l’accident, ont subi des brûlures de diverses gravités. Les équipes d’intervention sont rapidement intervenues et ont transporté les blessés vers le service de réanimation de l’Hôpital Général de Douala (HGD).

Une évaluation rapide a révélé que parmi les 18 étudiants admis, 12 étaient des femmes et six des hommes, âgés de 16 à 30 ans. Les blessures variaient en gravité, avec neuf cas considérés comme légers, quatre nécessitant une hospitalisation modérée et cinq cas de brûlures graves couvrant de 25 à 60 % de la surface corporelle.

Les blessés transférés l’Hôpital général de Douala

Les autorités médicales de l’HGD ont annoncé qu’une surveillance 24h/24 et 7j/7 serait assurée pour garantir les meilleurs soins aux étudiants blessés. Un responsable de l’hôpital a souligné l’engagement à placer le patient au premier plan. Face à l’ampleur des victimes, l’Hôpital Général de Douala a activé son plan d’urgence appelé « plan blanc », mobilisant toutes les ressources nécessaires pour une prise en charge optimale. Le gouverneur de la région du Littoral, Dieudonné Ivaha Diboua, a également visité l’hôpital pour évaluer la situation.

Pour approfondir :   Cameroun : Un bébé de deux mois dévoré par un porc à Bafou

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Hugo Broos Cameroun

Joseph Antoine Bell : « Le Cameroun a été ingrat avec Hugo Bross et n’a rien compris du tout »

Ndoki

L’arrestation de Bruno Bidjang prouve que « la peur a changé de camp » selon Me Ndoki