La journaliste algérienne que l’on voit présente sur quasiment tous les fronts de la CAN a critiqué les conditions météorologiques et la pelouse dans laquelle les Fennecs ont joué leurs deux premiers matches.
Dounia Mesli, journaliste et ancienne joueuse de football a trouvé logique l’excuse de l’aire de jeu et des conditions climatiques pour justifier la déroute de l’Algérie lors de la Guinée Equatoriale. « Douala est plus difficile que Limbé ou Yaoundé (où je suis allée voir la Tunisie et le Maroc), le climat est humide et la chaleur est beaucoup plus présente, et donc la pelouse s’en retrouve plus détériorée. Je suis sur le terrain, je sais de quoi je parle. L’Algérie a été défavorisée », a tweeté ce lundi la femme de média.
Repris parfois avec virulence par certains internautes, Dounia Mesli s’en est pris au discours. « Je lis certains commentaires haineux, qui me dégoûtent. J’ai été joueuse et je sais très bien que c’est très difficile physiquement/psychologiquement de jouer dans ces conditions, quand on n’y est pas habitués et/ou qu’on joue dans des pays plus froids, mais stop le racisme », a-t-elle appuyé dans un second tweet.