Lebledparle.com, CWT
Une semaine après la réaction d’Owona Nguini à travers les réseaux sociaux, Edmond Kamguia revient à la charge et tance de nouveaux le socio-politiste au cours du programme droit de réponse sur Equinoxe télévision ce dimanche.
En effet, le 03 février dernier, Mathias Eric Owona Nguini, consultant de Club d’Elite, réagissait aux attaques du journaliste de La Nouvelle Expression qui l’accusait en direct sur Equinoxe Tv, de « construire des discours de haine » au Cameroun à travers les médias et les réseaux sociaux. « C’est un misérable menteur (…) Kamguia veut m’utiliser comme épouvantail » rétorquait-il sur Médiatude.
Visiblement agacé par cette réaction du socio politiste, Edmond Kamguia est revenu à la charge au cours de l’émission droit de réponse du 10 février, qualifiant son vis à vis d’ « ingrat ». « Ce monsieur est ingrat (…) J’ai été il y a 10 ans l’un des contradicteurs d’Owona Nguini dans une émission à Canal 2 qui s’appelle L’arène. L’émission était présentée par Jules Domche. Et pendant le duel de 5 min, c’était Owona Nguini et moi. Par la qualité des questions que je lui ai posées, je lui ai donné une occasion en or de donner des réponses, susceptibles de convaincre l’opinion de sa volonté de jouer un rôle majeur pour changer la communauté camerounaise. Il devait plutôt me remercier pour cela (…) Il a également eu toute sa popularité et toute sa visibilité médiatique grâce à Equinoxe télévision à travers des émissions comme Post scriptum d’un ancien collègue (…) « Qu’attendez-vous d’un monsieur comme celui-là, qui, à la faveur d’un colloque a procédé à un revirement et à un changement de veste à 90 degré (…) Je ne voudrais pas en dire davantage, parce que, s’il me pousse à bout, je vais révéler en certain nombre de choses sur lui ». a lancé le consultant de Droit de réponse ce dimanche 10 février dans droit de réponse.
Le feuilleton entre les deux consultants de Droit de réponse et Club D’Elite est loin de s’achever. Puisqu’il n’est pas exclu que « MEON » réagisse une fois de plus.
