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Elimbi Lobé : « Samuel Eto’o est victime de tribalisme »

L’acteur politique exprime son opinion sur Samuel Eto’o et la Fecafoot (Fédération camerounaise de football), ainsi que sur les questions de tribalisme.

Lobe Elimbi
Abel Elimbi Lobe sur Info TV - Capture vidéo Lebledparle

Il faut dissoudre la Fecafoot

Abel Elimbi Lobe, évoque la possibilité de dissoudre la Fecafoot, la fédération de football du Cameroun, en prenant exemple sur des pays comme le Nigeria. Il suggère que cela pourrait être une solution pour résoudre les problèmes dans le football camerounais. Il mentionne également que Samuel Eto’o, un ancien footballeur camerounais, ne souffrirait pas de famine si la Fecafoot était dissoute, sous-entendant que la fédération n’est pas nécessaire. « Je pense qu’on devrait faire comme on l’a fait dans d’autres pays comme le Nigeria, on dissous même d’abord la Fecafoot, et chacun rentre s’occuper de ses affaires. Vous verrez qu’après ça, Samuel Eto’o ne va pas mourir de faim…», déclare Abel Elimbi Lobe dans Libre Expression sur Info TV.

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L’homme politique affirme que détester Samuel Eto’o en se basant sur le fait qu’il a été formé à la Kadji Sports Academy est injuste. Il soutient que d’autres personnes formées à la même académie n’ont pas réussi de la même manière, et il avance l’idée que Samuel Eto’o est victime de tribalisme, suggérant que des considérations ethniques pourraient jouer un rôle dans les critiques ou les problèmes auxquels il est confronté. « Vous ne pouvez pas détester Samuel Eto’o sous le prétexte que vous l’avez fabriqué à la Kadji Sports Academy. Il y’a des gens qui ont été formé à la Kadji Sports qui ne sont rien devenus. Samuel Eto’o est victime de tribalisme… », ajoute Elimbi Lobe /Libre Expression sur Info TV.

Ces citations reflètent des opinions sur la situation du football camerounais, sur la perception de Samuel Eto’o en tant que personnalité publique et sur les possibles enjeux de tribalisme dans le pays. Il est important de noter que ces déclarations représentent des points de vue particuliers et ne reflètent pas nécessairement l’opinion de l’ensemble de la population camerounaise.

 


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