Lebledparle.com, Marchelo TIENTCHEU
La Société sucrière du Cameroun a marqué de sa présence la 7e édition du salon international de l’entreprise Promote, oû elle a présenté ses produits et son savoir-faire aux visiteurs.
Evénement incontournable des entreprises et PME au Cameroun et en Afrique centrale, le Salon Promote 2009 a refermé ses portes ce 24 février 2019. A l’heure des bilans, la participation de la Société sucrière du Cameroun (Sosucam), demeure dans de nombreux esprits comme l’une des plus significatives.
L’entreprise qui était, en effet, présente sur le site de l’évènement à travers deux stands, était l’une des mieux exposée du salon. L’occasion pour la Sosucam de présenter au public large ses différents produits et surtout son savoir –faire en matière de transformation de la Canne à sucre. Un sucre de qualité, dans le respect des critères du certificat ISO 9001 version 2000, obtenu en 2009 et renouvelé tous les deux ans.
Le Made in Cameroon dans toute sa splendeur, qui a séduit les nombreux visiteurs, des anonymes aux plus célèbres. « Nous consommons tous du sucre de Sosucam », a ainsi affirmé le premier ministre Joseph Dion Ngute lors de sa visite du stand de l’entreprise. Le chef du gouvernement qui n’a pas manqué de saluer les techniques agricoles de dernière génération utilisée par la Sosucam, avant de féliciter l’utilisation d’une main d’œuvre locale.
En rappel La Sosucam est une entreprise créée en 1964, membre du groupe Somdia. Elle détient environ 25000ha de terres dont 18700 ha de plantations de cannes à sucre situés sur deux sites sucriers, celui de M’Bandjock et celui de N’Koteng. La compagnie produit 130 000 tonnes de sucre par an, produits grâce au 1,08 million de tonnes de cannes à sucre broyées dans les deux usines.
Depuis 2007, la Sosucam s’est lancée dans un programme de sélection de variétés de cannes à sucre, à partir de graines provenant de la station d’hybridation de l’île de la Réunion. Elle introduit ainsi chaque année 4 000 nouvelles variétés qui sont testées et sélectionnées à travers un schéma d’une durée de 12 ans.
