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Esstic : Alex Gustave Azebazé demande à la directrice d’ouvrir une enquête sur l’affaire de parrainage de Jean Pierre Amougou Belinga

C’est la quintessence d’un texte que le journaliste et acteur des droits de l’homme a publié sur son compte Facebook, le jeudi 12 janvier 2023, comme l’a noté Lebledparle.com.

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Une enquête pour creuser le fond de l’affaire

Le journaliste apprécie la décision de la directrice de suspendre le parrainage et lui demande d’aller loin avec l’ouverture d’une enquête. « Moi, Directeur de l’Esstic, j’ouvre une enquête sur cette affaire de parrainage de la 53e promotion.  Et s’il y a eu corruption des étudiants dont on prétend avoir voté à l’unanimité pour tel promoteur, eh bien j’en tire les conséquences au plan administratif et juridique.  On ne peut pas ainsi se permettre de mettre une telle école au cœur de la controverse parce que l’on veut aider un bonhomme à s’acheter une bonne réputation dans un milieu professionnel qu’il côtoie depuis plusieurs années déjà sans jamais se donner la peine de se soumettre aux règles déontologiques et principes éthiques le régissant.   À Mme Minkala donc :  c’est bien d’avoir suspendu les parrainages mais il faut aller plus loin que ça pour vous distancer de cette curieuse initiative qui serait passée sans la bronca de quelques cadors de la profession de journaliste au Cameroun », propose l’ancien de directeur de publication de Le Messager.

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A propos de Bruno Bidjang

Au sujet de la démission de Bidjang comme étudiant de l’Esstic. Il tacle sa décision. « Voilà un étudiant qui prétend abandonner son cycle de formation supposé admis sur concours – j’avais critiqué ici même le procédé d’admission à l’Esstic – parce que la direction de l’école aurait refusé le parrainage d’une promotion finissante – la 53ème – par son employeur. Et il prétend quitter l’Esstic qui selon lui ne compterait que 60 étudiants- lol – pour Issam, l’institut de son fameux patron qui en compterait quelque 2500 ! Toutes choses étant par ailleurs égales, le personnage qui agit ainsi conforte simplement un état de fait : il n’était pas reparti à l’Esstic qu’il avait déjà grillé une fois par le passé parce qu’il souhaitait améliorer sa formation professionnelle notamment acquérir les connaissances en matières de journalisme. Il y était allé, avec la grâce de la directrice de l’école, parce que son prédécesseur à la tête de la rédaction du groupe audiovisuel l’avait chambré lors d’une interview télé sur LTM. En parfait opportuniste, le bonhomme se sert de l’humiliation infligée à son patron qu’il décrit comme « son Dieu » à des buts internes à ce groupe : renforcer sa position auprès de ce patron qui adore la lèche », écrit-il.

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