Après l’appel à candidatures, le nombre d’ouvrages retenus pour la septième édition des grands prix des Associations littéraires (GPAL) a été rendu public par le comité d’organisation.
Pour cette édition, la liste des ouvrages dévoilés n’a pas égalé le taux de participation des ouvrages soumissionnés en 2018. Contrairement à l’année 2018 où 129 ouvrages ont été soumis à l’appréciation du Jury, l’on dénombre pour l’édition 2019, 102 ouvrages présélectionnés par 88 associations participantes, représentatives de plus d’une trentaine de pays à travers le monde.
Les ouvrages éligibles étaient entre autres les essayent, les romans, les ouvrages poétiques et théâtres (sur proposition des associations littéraires et assimilés). Comme lors des trois éditions précédentes, les livres retenus sont écrits en français, anglais, espagnol et langues africaines.
Dans la liste des ouvrages sélectionnés, l’on retrouvait pour la première fois un livre écrit dans une langue africaine, le Kikongo, une langue parlée en République Démocratique du Congo, en Angola et au Gabon.
D’après le règlement de la compétition au moins neuf ouvrages sont attendus pour la phase finale. Les neuf nominés seront auditionnés par le jury de l’édition 2019.
Depuis son lancement en 2013, les GPAL ont déjà couronnés une trentaine de gagnants et les lauréats de l’édition 2018 sont la britannique Helen Lackner (elle est la toute première écrivaine non africaine à remporter ce concours), couronnée dans la catégorie Recherche pour son livre intitulé « Yemen in Crisis », et l’algérien Yasmina Khadra, consacré pour sa part dans la catégorie Belles-Lettres pour son roman intitulé « Khalil ».
Le prix GPAL s’est imposé en Afrique, et continue de séduire aux quatre coins du monde. Ce prix littéraire est un concept original et rassembleur. « Le prix [GPAL] est devenu en quelques années une référence au niveau international. », peut-on lire dans l’encyclopédie Wikipédia.