« Il a de fait « massacré » l’hymne national du Cameroun
Lebledparle.com partage avec vous sa sortie. « OK, pas de soucis ! « Vous avez raison » ! Les aigris et les émotifs en profitent pour prendre du poids, oubliant l’essentiel qui est le patriotisme de Francis Ngannou ici exprimé et ce depuis pas mal de temps.
Bien que vivant aux États-Unis (c’est à dire hors du Cameroun et loin du civisme Camerounais) depuis pas mal de temps, il a tout de même eu le courage de relever ce défi devant tout ce monde, car j’en suis certain, il savait qu’il ne maîtrisait pas toutes les paroles du refrain de l’hymne, et il aurait pu se défiler et ne pas s’exécuter à l’hymne, encore moins devant les caméras. Mais non, en bon soldat, en bon patriote, il a tenu à le faire : c’est un acte à féliciter.
Et encore, Il aurait bien pu signer la nationalité Française ou Américaine et de ce fait chanter plutôt leurs hymnes. Mais, il a choisi par patriotisme et dévouement, le Cameroun. Et, son déficit d’habitude et de routine eu égard au civisme du Cameroun l’a emmené à ne pas bien prononcer les paroles de cet hymne. Au moins le refrain et toutes les notes il maîtrise parfaitement.
Je mets au défi quiconque : A part les hommes en tenues, les députés et les sénateurs, sur 15 millions d’adultes vivant au Cameroun, moins de la moitié sait parfaitement chanter l’hymne national. Je le répète, o à part les hommes en tenues et le parlement, plus de la moitié des adultes ne maîtrise pas parfaitement l’hymne national, pourtant ils vivent au Cameroun et donc sont en continu dans l’actualité et le civisme du pays, contrairement à Francis Ngannou qui lui est hors du pays et continuellement plongé dans l’actualité de l’occident.
Ce n’est pas un problème d’éducation civique, mais une question de routine. Étant au États-Unis, son pays de résidence, il a 00,002 % d’occasion de chanter l’hymne national du Cameroun, et donc d’entretenir ses connaissances en la matière. Il n’est donc pas étonnant qu’il manque de routine à ce sujet. Que l’aigreur et la haine gratuite cèdent la place à la reconnaissance et au sens de la responsabilité.