Alors que le pays est traversé par une interminable crise autour du ballon rond, bien entretenue par la Fécafoot et le Ministère des Sports, le directeur de publication du quotidien Ouest Littoral n’a pas caché, dans une analyse, son indignation de voir « notre pays est actuellement humilié dans le monde entier pour une affaire de football ».
Pour Benjamin Zebaze, nous sommes là sur un terreau où l’école et la bonne éducation font défaut. « Tout est question de niveau scolaire et d’éducation. Lorsque patron de presse, j’ai été suspendu à plusieurs reprises par le Conseil National de la Communication (CNC) du défunt Évêque Befe Ateba; de Jean Claude Ottou, de Peter Essoka…j’ai organisé la résistance avec toute la presse réunie, de Séverin Tchounkeu à Amougou Belinga en passant par Michaut Moussala, Haman Mana… », explique-t-il.
« Mais, ajoute le journaliste, en attendant le sort des procédures judiciaires, nous avons appliqués les décisions du CNC malgré le fait que nous les jugeons illégales. Lorsque Iya Mohamed, alors président de la Fecafoot, a estimé que la nomination d’un staff des Lions Indomptables faite contre l’avis de la fédération était illégale, il a refusé de signer les contrats ».
La Fécafoot sous la présidence d’un étranger
« Mais en homme bien éduqué, il n’a rien fait pour empêcher à ce staff de faire son travail jusqu’au bout. Aujourd’hui, avec des méthodes de « quartizards », on humilie notre pays sur la planète foot en osant évoquer la violation des règles juridiques alors qu’il existe bien un « PÉCHÉ ORIGINEL »: La présence d’un espagnol à la tête de la Fecafoot.
Quelles sont les règles juridiques qui ont permis cette forfaiture ? Depuis quand la double nationalité est acceptée dans ce pays par la loi ? », questionne Benjamin Zebaze.
Les Bamilekes vont seulement mourir car Eto’o demeure la ou ils n’ont pas pus placer un Bamileke.
Peuple jaloux, tribaliste
Après Jean Bruno Tagne, c’est Benjamin Zebaze, purs enfants bamileké qui traduisent le tribalisme avec autant de bassesse.
Zebaze lutte pour la cause des bamileké. Tant qu’un bamileké n’est pas président de la Fecafoot, ce n’est pas un Camerounais 😀😀😀