La situation est assez déconcertante. Elle reflète d’ailleurs le problème criant de la gestion des infrastructures et équipements sportifs rencontré dans le pays et dans certains pays d’Afrique. En effet, depuis le début des interpoules, les joueurs et les officiels n’ont pas de vestiaires à leur disposition.
En plus de ternir l’image du football camerounais, cette situation peut agir négativement sur la santé et le bien-être des joueurs, surtout en cette période marquée par des vagues de fraîcheur et des pluies.
En fait, les terrains choisis par la FECAFOOT pour éviter les coûts imposés par l’ONIES manquent de structures de base, telles que des vestiaires équipés.
Face à cela, la FECAFOOT et l’Office National des Infrastructures et d’Équipements Sportifs devraient rectifier le tir afin de préserver l’image du football camerounais ici et ailleurs.