Absence d’autocritique et d’excuses
Mbedé critique le manque d’autocritique et de regret dans la sortie de Samuel Eto’o. Il remarque que malgré les reproches venant de différents acteurs du football, Eto’o maintient une attitude de victime et d’arrogance. Mbedé se demande pourquoi Eto’o ne reconnaît pas simplement ses erreurs et ne s’excuse pas, surtout après la décision de la justice mondiale en sa défaveur.
L’auteur s’interroge sur la façon dont Eto’o ignore les critiques et les voix discordantes. Il remet en question son obstination à considérer le football comme sa propriété et à ignorer les opinions contraires. Mbedé critique la posture belliqueuse d’Eto’o, le présentant comme un « chef rebelle » qui expose la Fecafoot à l’ingérence des institutions et organisations républicaines et internationales.
Mbedé exprime son espoir qu’Eto’o fasse preuve de leadership en reconnaissant ses manquements et en appelant à la réconciliation. Il suggère qu’Eto’o aurait pu adopter une approche plus constructive en disant qu’il comprend les critiques et en invitant toutes les parties à discuter pour avancer.
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Incorrigible!
Aucune autocritique. Aucun regret. Aucun profil bas. Toujours lui la victime. La même arrogance. Celle d’ignorer tout ce qui lui est reproché par tous les acteurs du football: des syndicats aux équipementiers, en passant par les présidents de clubs et les membres de son propre comité exécutif. Dans ce cas, pourquoi ne pas simplement reconnaître qu’il a commis des erreurs? Les assumer et s’en excuser, au moins parce que la justice mondiale lui a dit qu’il n’a pas bien agi? Pourquoi ne pas en appeler au rassemblement et au pardon? Pourquoi s’obstine-t-il à considérer le football comme sa propriété? Comment fait-il pour ne considérer que ses soutiens et ignorer ses critiques? En pleine tourmente, l’on s’attend à ce que le capitaine du bateau FECAFOOT fasse son aggiornamento, confesse ses manquements et sonne la fin des guéguerres. En lieu de quoi il confirme Une posture belliqueuse d’éternel “chef rebelle” qui l’expose encore et toujours à la quasi certaine ingérence des institutions républicaines et internationales. En tant que leader, il aurait suffi de dire: ”je vous ai compris, asseyons-nous et discutons pour avancer. À la place de quoi, il promet de tenir tête aux damnés jusqu’à la gare. Bon vent donc!
c’est ton probleme.as tu pensé à t’excuser à son egard ?