C’est du moins ce qui ressort de sa concertation avec Djeukam Tchameni le 9 mars dernier à Yaoundé.
« Avec le ministre Momo, nous sommes en désaccord sur son bilan élogieux de Biya et son peu d’égards pour le combat de Um, Moumie et Ouandie. Nous avons cependant trouvé des points de convergence sur la lutte pour une Afrique unie et forte et pour un Cameroun libéré de la France », confié Djeukam Tchameni dans les réseaux sociaux.
Et de conclure : « Le ministre Momo m’a confié être aussi pour une transition politique ordonnée et non violente. La concertation continue… », Peut-on lire.