L’homme de droit dans un langue peu ordinaire, dénonce une femme anonyme qui lui ferait des « offrandes sexuelles » dans les réseaux sociaux. Un service que Jean De Dieu Momo ne prêt à lui rendre.
Dans ce texte qu’on pourrait proscrire aux enfants de moins de 16 ans publié le 21 mai 2020, le ministre délégué à la Justice écrit : « Hey Dieu !! Une primate aux menstrues coagulées par une sévère sécheresse hormonale et qui n’existe pas a essayé d’immerger à la vie en utilisant nom Saint self made Name ! Comment une personne qui a choisi de n’exister qu’à travers un nom d’emprunt étranger, lequel apparaît comme étant son seul et unique fait d’arme peut-elle avoir la prétention prétentieuse de nouer mes lacets ? »
Comme si cela ne suffisait pas, le président national du PADDEC poursuit : « Toute la réussite de sa vie s’inscrit autour d’un NOM qu’elle a épousé (un nom et non un homme) et c’est ce nom qu’elle affiche dans tous les actes de sa fade inexistence. Mme UNTEL comme un trophée arraché de haute lutte dans une relation infertile que la ménopause rend cruelle. Son rire cristallin qui rappelle celui de certains primates dans la savane est beaucoup plus proche de celui d’une hyène qui ricane et c’est cette chose qui se dissimule derrière un nom d’emprunt qui essaye de vivre par effraction à mes dépens en utilisant une filouterie de nom étranger dans une escroquerie intellectuelle à ciel ouvert », dénonce-t-il, visiblement dans l’émoi.
Pour conclure, Jean De Dieu Momo rassure : « Passer votre chemin madame, y’a rien à voir ici. Je ne suis pas intéressé par vos offrandes sexuelles maquillées ».