Toutes les questions ont été évoquées hier lors de l’entretien que Joseph Antoine Bell a accordé à CFOOT dans son émission le « Onze Entrant ». En dehors de l’entretien des stades, qui est du ressort de l’Onies, d’autres questions telles que la relation entre la structure que dirige Bell et la Fécafoot étaient sur la table. À ce sujet, le président de l’Office national des infrastructures et d’équipements sportifs déclare que l’Onies ne lui appartient pas et que la Fécafoot ne saurait appartenir à un individu, contrairement à ce que pensent certains. L’ancien gardien des Lions Indomptables souhaite qu’un décalage naisse entre les fonctions qu’il occupe et sa personne.
« Les gens ont personnalisé les fonctions. J’ai déjà dit que l’Onies ne m’appartient pas. Ceux qui ne m’aiment pas, qu’ils aillent m’attendre chez moi ou au village, ou dans leurs villages, si j’y vais même. L’Onies ne m’appartient pas et ne pensez pas me viser à travers l’Onies. Je ne le dirige pas comme une propriété privée et la Fécafoot devrait faire pareil. Malheureusement là-bas, on vous parle de son président ; ça devient personnel. On vous dit : « Bell ne l’aime pas ». Même si c’était le cas, ça n’aurait rien à voir. Ce n’est pas un problème personnel. Voyez-vous-mêmes tous les commentaires qui sont faits autour de ma carrière. Ce sont des commentaires personnalisés », a déclaré Joseph Antoine Bell à l’émission le « 11 Entrant », sur CFOOT.