« Je suis un panafricain convaincu et engagé », déclare Jules Domche.
Journaliste et société
L’auteur estime qu’« il n y a pas de journalistes neutres. Un Journaliste neutre est un danger pour la société. Un Journaliste doit impacter la société ».
Libérer totalement l’Afrique
En tant que journaliste qui veut impacter la société, il a choisi le camp de ceux qui veulent la libération totale de l’Afrique. « J’ai choisi mon camp depuis, c’est celui de la libération totale. A travers les médias occidentaux on a réussi à déstructurer nos cerveaux. En réalité nous sommes des esclaves qui s’ignorent. Nous sommes des esclaves. On a juste déplacé les chaînes de nos pieds et cous pour les installer dans nos cerveaux. Par rapport à nos ancêtres, nous sommes des esclaves plus soumis. Malheureusement les médias jouent un grand rôle », précise-t-il.
« Les médias que nous avons dans la plupart de nos pays en Afrique ne s’inscrivent pas dans une logique de guerre institutionnelle. Ceux qui sont du secteur public s’inscrivent plutôt dans la logique de propagande du pouvoir en place. Si votre objectif est d’être le tam tam du président, vous ne pouvez pas affronter RFI, Russia Today… (…) A côté, l’offre du privée est assez déplorable. La plupart des médias privés vivent dans une forme de mimétisme qui frôle l’absurdité », déplore l’homme des médias.
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