Happy d’Efoulan lâché par tous ?
Les clarifications de la famille de l’artiste Happy d’Efoulan ont diversement surpris. Elle avait d’abord gardé un étrange silence depuis les misères que traverse le chanteur de Mbolé. Et vient à présent démonter toutes les hypothèses qui ont eu le vent en poupe et d’ailleurs soutenues par l’artiste. « Contrairement à la version répandue dans l’opinion et suivie par Lebledparle.com, notre fils n’a jamais été séquestré, ni violenté ni harcelé sexuellement par son producteur, sieur Nkodo Serge. », affirme la famille biologique de jeune Star.
Avant de renchérir que cette floraison d’informations est le fait de quelques personnes tapies dans l’ombre animées par le seul projet de dévier l’artiste de la belle trajectoire que lui promet un producteur pourtant décrit en noir par toutes les personnes qui ont déjà eu à collaborer avec lui. Pour sa famille, son producteur qui lui a porté plainte et privé de ses réseaux sociaux reste celui qu’il faut pour lui « assurer un meilleur encadrement. »
En de termes incendiaires, Serge Nkodo avait laissé entendre que l’artiste se livrait à des pratiques homosexuelles entre autres actes d’insubordination. Il a sur ces entrefaites privé Happy d’Efoulan de ses comptes sur les réseaux sociaux. A la surprise générale, sa famille minimise tout en argaunt simplement que « le problème auquel fait face Happy d’Efoulan n’est pas d’ordre contractuel, mais plutôt d’ordre sanitaire et psychologique. » Ils sont resté muets sur les cas de violences signalés fréquemment par l’artiste en pointant du doigt son producteur.
La famille biologique de l’artiste s’attaque plutôt aux personnes qui ont montré leur volonté de manifester une certaines solidarité envers l’artiste. Elles sont traitées de « pompiers-pyromanes » pour avoir « réussi à le soustraire de la surveillance de ses proches pour le loger dans un endroit tenu secret, et profitent pour lancer des collectes de fonds sous le fallacieux prétexte de lui venir en aide. Ceci sans informer ni solliciter l’aval de la famille. », l’artiste a pourtant montré son adhésion à cette démarche.
Le mandat dont se réserve la famille du jeune Happy d’Efoulan serait-il finalement d’avoir l’exclusivité du cachet de sa mort ? Tout compte fait ce n’est pas le procès entamé ou cette sortie qui arrangera les choses si Happy d’Efoulan est désormais abandonnés par ceux qui pensaient l’aider ou plutôt trahi par sa propre famille.