LMZ, Lebledparle.com
Bassirou Diomaye Faye a tenu à présenter publiquement ses deux épouses, Marie Khoné et Absa Faye peu après son élection. Une polygamie assumée au sommet de l’État qui « scandalise » l’écrivaine franco-tunisienne Fawzia Zouari. La femme de lettres l’a d’ailleurs fait savoir dans un pamphlet publié par le journal Jeune Afrique. Nathalie Yamb ne s’est pas fait prier pour lui réponse avec la verve habituelle qu’on lui connaît.
Les Chefs de l’Etat polygames
Nathan Yamb relève que la polygamique n’est pas un fait nouveau chez les chefs d’Etat. Elle a énuméré plusieurs président de la République qui vivent cette situation. « Le monde se souvient du spectacle de l’enterrement de François Mitterrand en présence de ses deux femmes, du spectacle de François Hollande, allant en scooter d’un foyer à l’autre dans Paris. Le président centrafricain Faustin-Archange Touadera qui vient d’être reçu à l’Elysée par Macron est un polygame, le putschiste halal du Gabon également, les émirs arabes qui viennent à Paris avec leur harem, les rois asiatiques, Mobutu, Zuma, tous polygames, mais jamais on a entendu la dame s’interroger sur comment le protocole d’Etat va gérer l’affaire, ou le coût que cela pourrait avoir pour le contribuable. Mais c’est sur Bassirou Diomaye Diakhar Faye qu’elle vient déverser son vomi. Une sagesse bantoue dit qu’on ne contredit pas une folle. On va donc laisser la franco-tunisienne Fawzia Zouari éructer sa frustration et souhaiter une douce nuit à tous les foyers polygames de la planète », argumente Nathalie Yamb.
Ma’a tu as corrigé cette dame qu’ parlé encore
Bien parlé la grande, j’espère qu’elle te lira
Je trouve un peu étonnant qu’une soi-disant intellectuelle arabo-africaine âgée d’une cinquantaine d’années parle ainsi.
Le rappel est clair. Il est triste de constater combien les gens peuvent être idiots, manipulés et complexés ! Une écrivains se doit un peu de culture et de connaissances des faits historiques.
Chère Mme Yamb, l’aigle volé tellement haut que la bave du crapaud ne l’atteindre jamais.