M.G, Lebledparle.com
Dans les colonnes du N° 829 de L’Indépendant du jeudi 11 juillet 2024, Charly Gabriel Mbock propose une analyse sur l’affaire qui oppose le DG de la CNPS, au Consupe. Dans son argumentaire, l’homme politique soutient que la propension à l’écrasement et la pathologie de l’acharnement des inspecteurs d’Etat du gendarme de la fortune publique dans les missions qui lui sont dévolues, embarrassent le ministère public qui les emploie, devant les tribunaux.
Dans sa publication de ce jeudi, Première Heure parle plutôt de la guerre de succession qui a cours au Cameroun, qui selon lui, « amène certains acteurs ambitieux à user de leur position pour monter de toute pièce des dossiers contre ceux qu’ils considèrent comme de potentiels rivaux ». C’est le cas de ce contrôle « inique dépêché par le SGPR contre Mekoulou Mvondo dont la gestion ne cesse de faire des jaloux », peut-on lire.
Dans un rapport qu’il vient de publier, le cabinet « OBIV Solutions » dont le promoteur est le Pr Viviane Ondoua Biwole, révèle que le président de la République devrait nommer de nouveaux présidents de Conseil d’administration (PCA) au plus tard le 12 juillet 2024 de peur que ceux en fonction tombent sous le coup de la loi. Plus de détails à lire dans les pages 5 et 6 du journal Expression Économique.
Le Conseil de discipline budgétaire et financière (Cdbf) a infligé 19 fautes de gestion pour la période 2008-2016 à Alain Noël Olivier Mekulu Mvondo Akame, le manager de la Caisse nationale de prévoyance sociale. Les sanctions pécuniaires à lui infligées d’un montant de 611, 5 millions de Fcfa ont fait l’objet des recours par le concerné auprès du tribunal administratif de Yaoundé. Le directeur général de la Cnps a également porté à la traite haute attention du chef de l’Etat les sanctions «contre toute logique et jurisprudence » du Cdbf à son encontre. Diapason analyse le conflit dans sa publication de ce matin.
Dans son point de ce jeudi, le bihebdomadaire Le Point rappelle que 2025 au Cameroun, est une année électorale. Le calendrier prévoyait la tenue de quatre scrutins à savoir : les législatives et municipales, les présidentielles et les régionales. C’est pour l’alléger qu’une loi déposée par le gouvernement, a été votée et promulguée par le président de la République, en vue d’une prorogation de 12 mois. « Du pain béni pour les concernés. Businessmen à leur compte, applaudimètres par excellence et invisibles sur le terrain », écrit le journal.
Le journal Politics Hebdo revient sur l’actualité autour de la récente sortie de la fille du président de la République. Le journal présente en sa grande Une, des jeunes filles de la même génération, mais qui selon lui, « font parler autrement du Cameroun à l’étranger, contrairement à l’actualité de ces jours-ci. Loin de cette chose-là selon le mot du président Paul Biya». Des modèles pour des milliers de jeunes camerounaises qu’il faut célébrer au journal Le Parisien, France 24 etc. Christelle Tchonang et Reine Dominique Ntone, font rêver après leurs admissions respectives à la NASA. (L’Agence responsable du programme spatial des USA), lit-on.
Alors qu’au sein de l’opinion publique, c’est l’indignation totale face à l’attitude de la fille du Chef de l’état qui milite pour la dépénalisation de l’homosexualité au Cameroun, La Voix du Consommateur s’étonne du silence du gouvernement. Depuis le « Coming out » de Brenda Biya et son interview dans la presse étrangère, « silence radio chez les autorités gouvernementales qui devraient intensifier des déclarations et mener des campagnes pour endiguer le phénomène de l’homosexualité qui déprave nos mœurs et détruit la famille », écrit le journal.
