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La revue de presse camerounaise du mardi 18 avril 2023

Abonnés de la revue de la presse, votre fidélité nous honore. Merci d’être là tous les matins dans le cadre de cet exercice. Comme tous les matins, retrouvez ci-dessous, l’essentiel à retenir des informations en kiosque ce jour.

le 18 avril

Ce matin, on commence par parler de la gestion des catastrophes au Cameroun. Le journal bilingue gouvernemental Cameroon Tribune pense que la multiplication des sinistres de natures diverses, causant des pertes matérielles et humaines, appelle à une intensification des actions préventives. Dans ce sens, lit-on dans le journal paru ce matin, le premier ministre a présidé une réunion le 11 avril dernier à l’effet d’évaluer et prescrire la « plus grande synergie d’actions entre les différents acteurs ». Le focus de Cameroon Tribune est en kiosque.

La Nouvelle Expression parle de la culture du blé.  Le journal se souvient que les promoteurs locaux étaient en conclave le 22 avril 2022 à Bafoussam à l’initiative du ministre de l’Économie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, Alamine Ousmane Mey, pour explorer les axes devant conduire à la maitrise de la crise provoquée par la guerre en Mer noire. Depuis lors, écrit le journal, on attend toujours la riposte.

Dans les colonnes de Le Jour on évalue les actes d’insécurité enregistré dans le pays ces 52 dernier jours, notamment sur les femmes. Le constat qui se dégage fait état de ce que les féminicides s’accumulent et les images d’horribles sont publiées dans les réseaux sociaux. En page 5 de Le Jour de ce jour, les organisations de défense des droits de l’homme s’indignent et dénoncent les atteintes au droit à la vie.

Trois mois après la disparition de Martinez Zogo, animateur vedette de l’émission de radio quotidienne « Embouteillage », où en est-on avec l’enquête diligenté par le président de la République ? Émergence en kiosque ce mardi 18 avril 2023 fait le point et nous apprend qu’aucune inculpation pour meurtre n’a toutefois été prononcée jusqu’à présent. Aucun prévenu n’est mis en cause pour avoir commandité l’assassinat de Martinez Zogo. Amougou Belinga n’a été inculpé que pour « complicité de torture », Maxime Eko Eko et Justin Danwe respectivement pour « négligence et non-respect des instructions » et « kidnapping et torture ». Tandis que la phase d’instruction est en cours, le Comité pour la protection des journalistes « rappelle la nécessité d’un processus crédible et transparent pour que non seulement la justice soit rendue, mais qu’elle soit rendue de façon visible et accessible aux citoyens ». C’est à lire dans le journal de Magnus Mbiaga.

Pour approfondir :   Cameroun : Paul Biya nomme le SG de la commission nationale de promotion du bilinguisme et du multiculturalisme

Parlons des faits sociaux avec L’Info à Chaud. Selon des informations au journal, l’influenceuse Coco Emilia pourrait souffrir d’une maladie grave. Ces dernières semaines, lit-on, l’influenceuse camerounaise Coco Emilia encore appelée Biscuitdemer s’est faite plus discrète sur les réseaux sociaux, ce qui a soulevé des interrogations et des inquiétudes quant à son état de santé. Depuis plusieurs personnes affirment que l’influenceuse va mal. Certaines spéculations suggèrent que Coco Emilia pourrait souffrir d’une maladie grave. Des captures d’écran de conversations publiées sur le web laissent entendre qu’elle aurait été hospitalisée à plusieurs reprises dans divers hôpitaux du pays. Toutefois, la nature exacte de la maladie n’est pas claire et les éléments disponibles ne permettent pas de confirmer ces affirmations.

Pour approfondir :   Can TotalEnergies 2021 : Comme promis, le président de la CAF et son épouse sont au Cameroun

Kalara parle d’une autre influenceuse, Marlène Emvoutou. Le journal de Christophe Bobiokono en kiosque cette semaine explique pourquoi cette dernière a été relaxée par la justice pourtant accusée des faits de filouterie de loyer. Alors qu’elle cumule 25 mois d’impayés, l’infleunceuse a été relaxée par la Cour d’Appel du Centre sur la base « d’un argument fallacieux ». Choquée par le verdict, confie le journal, la bailleresse s’est évanouie avant de procéder à l’expulsion de la locataire indélicate de sa villa. Le film de cette supercherie judiciaire est à lire dans les colonnes de Kalara de cette semaine.

Très chers abonnés, c’est ici que nous mettons un terme à cette revue de la presse ce matin. Merci d’avoir été une fois de plus des nôtres. Rendez-vous demain pour une nouvelle édition.


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