Le ministre des Postes et Télécommunications a formulé un ensemble de recommandations au terme d’une réunion hier avec les opérateurs de communications électroniques. Entre autres mesures, la reconduction des forfaits perdus, la mutualisation des infrastructures, l’augmentation des capacités Internet sur le câble sous-marin à fibre optique reliant le Cameroun au Brésil. Cameroon Tribune en profondeur sur cette réunion tenue hier à Yaoundé.
Le président de la République centrafricaine a accordé une audience au nouveau gouverneur de la Beac le 18 mars 2024 au Palais de la Renaissance à Bangui. Diapason qui revient sur cette actualité ce matin fait savoir que l’hôte du président a dit être venu présenter sa gratitude et recueillir auprès de lui les orientations nécessaires à l’accomplissement de ses responsabilités à la tête de cette noble institution sous-régionale. « Yvon Sana en a profité pour remercier également les autres chefs d’État de la Cemac qui ont porté leur choix sur sa modeste personne », écrit le journal. Le nouveau gouverneur qui a pris l’engagement de servir la Beac avec intégrité, professionnalisme et engouement a également déclaré que les réformes assorties des Conférences des chefs d’État de la Cemac concernant la République Centrafricaine depuis 2018 seront mises en œuvre pour son développement socioéconomique.
« Commercial Bank-Cameroun : Un repreneur des parts de l’Etat dans le capital attendu d’ici juin 2024 », titre le quotidien L’Économie en kiosque ce matin. Selon le journal qui cite lui-même le ministère des Finances, les offres fermes des repreneurs potentiels sont attendues dans les prochaines semaines. Un processus qui s’inscrit dans le cadre de la finalisation de la restructuration de la banque.
Le journal Le Drapeau parle du développement socioéconomique du Cameroun, en insistant sur la « formation des formateurs à l’esprit d’entreprise ». En sa page 8, notre confrère renseigne que la première session du programme dédiée à ladite formation s’est déroulée du 11 au 15 mars 2024 à Yaoundé, fruit d’une collaboration entre le Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Économie Sociale et de l’Artisanat et la Fondation INCYDE, une institution espagnole dédiée à la promotion de l’entrepreneuriat.
L’État conteste une dette de 60 milliards due à Eneo. Suivant les explications du quotidien Le Jour paru ce matin, la dette non validée par le gouvernement au bénéfice d’Eneo au 31 décembre 2023 est liée à la consommation d’électricité des dispositifs d’éclairage public.
Mgr Samuel Kleda, l’archevêque de Douala, en sa qualité de président de la commission santé de la Conférence épiscopale, dénonce en page 5 du journal Mutations, le phénomène de séquestration dont sont victimes les patients nécessiteux dans les hôpitaux publics et privés au Cameroun.
Le bihebdomadaire d’analyses, d’enquêtes et d’informations générales Le Point dans son édition en kiosque ce matin nous apprend que la communauté chrétienne de Yaoundé tombe des nues, en apprenant d’une alerte de Shanda Tomné, la mort à petit feu de leur archevêque métropolitain émérite Mgr Tonye Bakot. Affamé. « Si l’amour, le pardon, le partage et la vérité sont les principaux piliers de l’église catholique romaine, leur pratique y est voilée. Entre règlements de comptes, rancœurs et abus d’autorité, le clergé malmène ses retraités. Et certains de ses religieux en fonctions. Le Vatican alerté… », lit-on.
Le Directeur général de l’hôpital de district de Messamena suspendu par le Minsanté pour insubordination. « C’est par une note signée ce 18 mars 2024 par le ministre de la santé publique le Dr Manaouda Malachie qu’on a appris la suspension du directeur de l’hôpital de district de Messamena dont le motif principal serait l’irrespect caractérisé envers une autorité », apprend-on dans les colonnes de Kamaroes News en kiosque ce matin.
En sa page 4, le même journal espère une clémence du chef de l’État à l’endroit du journaliste Bruno Bidjang. D’après le journal, en plaidant coupable sur les faits qui lui étaient reprochés, Bruno Bidjang aurait séduit un bon nombre de compatriotes qui essayent en longueur de journée de faire passer l’adage selon lequel une faute avouée est à moitié pardonnée. « Et d’après certaines indiscrétions, une volonté du père de la Nation demande sa libération », peut-on lire.
L’Assemblée générale de l’Association pour le Développement du Mbam tenue à Mbangassina le 16 mars 2024, a donné l’occasion à ses membres d’adresser quelques-uns des problèmes auxquels elle fait face, notamment les difficultés dans la mobilisation des ressources, la faible implication des jeunes et la braderie foncière. C’est à lire en détail dans les colonnes de Terre Promise.