InfoMatin parle du projet d’approvisionnement en eau potable dans la ville de Yaoundé et ses environs, et nous annonce la fin des travaux. Selon ce qu’on peut lire dans le journal ce matin, le travaux physiques de cet ouvrage ont déjà été réalisés à 100%. « La prochaine et dernière étape du Projet d’alimentation en eau potable de la ville de Yaoundé et ses environs à partir du fleuve Sanaga (Paepys), initié et impulsé par le chef de l’Etat, Paul Biya, prévoit le démarrage effectif des essais préalables à la mise en service officielle de l’ouvrage dans les prochaines semaines », apprend-on.
Intéressons-nous à présent au financement « fictif » des projets au Minader et au Minepia. Le Point dans sa publication en kiosque ce matin indique, les différents coordonnateurs des programmes et projets installés depuis des lustres dans ces deux départements ministériels, distrairaient de gros budget à travers des projets « irréels » et « chimériques ». Un drame qui selon notre confrère, « ne fait pas honneur au Cameroun, gâté par la nature, et qui se présentait encore hier comme le grenier de l’Afrique centrale ».
Le Cameroun fait partie des trois nouveaux pays qui ont exprimé leur intérêt à rejoindre l’alliance BRICS, selon le journal L’Économie en kiosque ce matin. Toujours selon notre confrère, le Zimbabwe, le Cameroun et le Pakistan ont officiellement exprimé leur intérêt à rejoindre le groupe des BRICS cette année. C’est une actualité à lire en page 3.
Cameroon Tribune dans son focus de ce mardi, nous fait savoir que le nouvel entraîneur de l’équipe nationale du Cameroun, Marc Brys, est en tournée de reconnaissance dans les clubs européens pour rencontrer des joueurs, potentielles recrues de la sélection fanion. Notre propose ce matin, la revue des profils susceptibles d’enrichir les différents compartiments du jeu.
Toujours dans le même journal, l’on apprend que ce 23 avril 2024 marque 30 ans de dévouement de l’épouse du président de la République dans les œuvres caritatives. Des actions concrètes qui touchent et changent quasiment au quotidien des milliers de vie, de l’enfant malade à la mère, en passant par les orphelins, les veuves, vieillards, victimes de diverses affections et catastrophes, personnes défavorisées et vulnérables… Malgré le temps qui passe, l’engagement de la première dame ne faiblit pas. Lire les pages spéciales de Cameroon Tribune en kiosque ce mardi 23 avril 2024.
C’est déjà lancé pour le Baccalauréat session 2024. Les candidats de l’Enseignement général et ceux de la technique sont face aux épreuves pratiques d’éducation physique et sportive depuis hier sur l’ensemble du territoire national. Cette activité se déroule jusqu’au 24 avril prochain. La journée de mercredi quant à elle, est réservée au rattrapage. Les détails à lire dans les colonnes de Cameroon Tribune.
Le Messager parle de l’alternance pacifique au Cameroun et donne la parole au Pr Jean Calvin Aba’a Oyono, qui soutient dans les colonnes du journal que le moyen institutionnel et efficace consistant à assurer la transition réside dans l’obligation historique de faire le bloc de la candidature unique.
Depuis quelques jours que des informations font état d’un appel pressant de Sisiku Ayuk Tabé et compagnie à l’endroit de la République du Nigeria afin d’exiger à la République du Cameroun leur rapatriement vers ce pays. David Eboutou qui réagit à cette actualité dans le journal L’Info à Chaud en rappelant que la République du Cameroun « n’est ni une fédération du Nigeria, ni une sous colonie du Nigeria encore moins un vassal de ce pays frère », estime qu’une telle démarche ridiculise ses auteurs et « démontre une incurie affligeante en matière de diplomatie et de droit international ». selon lui, « une telle initiative venant des gens qui se vantent d’être à la tête de groupuscules de criminels qui sèment la mort et la désolation au Nord-ouest et au Sud-Ouest et qui ont déjà été condamnés à perpétuité entre autre pour terrorisme, sécession, assassinats, ne peut prospérer… »
Le Jeune Enquêteur propose une enquête exclusive sur l’affaire Gulfin. Selon le journal, voici bientôt cinq ans que cinq responsables de famille sont mis en détention provisoire, inculpés pour une histoire d’approvisionnement non aboutie. Alors que la société étrangère reconnait voir perçu les fonds (près d’un milliard de francs CFA) et est prête à rembourser, on se demande ce que font encore nos compatriotes en prison. Y a-t-il une main noire qui tire les ficèles dans l’ombre ? À quelle fin? Que cache en réalité l’affaire Gulfin? Les réponses sont contenues dans le journal.