OLBIF, Lebledparle.com
La subvention de l’Etat en direction des Entreprises publiques sera désormais conditionnée. Avant de recevoir tout appui du gouvernement, les dirigeants de ces structures sont tenus de respecter certaines règles. Retrouvez dans les colonnes du quotidien L’Economie, les détails sur cette nouvelle politique qui viserait à rendre ces structures performantes.
Le journal Le Soir, de ce matin revient sur le colloque international sur la diffusion de la culture entrepreneuriale au Cameroun, organisé par le ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Économie Sociale et de l’Artisanat, s’est tenu du 22 au 23 octobre 2024, au campus de l’Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC). Cet événement, souligne-t-il, a permis aux divers acteurs de l’écosystème entrepreneurial national et international de jeter les bases d’une réorientation stratégique de la dissémination de la culture entrepreneuriale et d’explorer des pistes de solutions pour dynamiser ce secteur. Les détails en page 3.
Econews annonce une « chasse est ouverte », contre les fonctionnaires fantômes dans les administrations. Lancée en 2018, l’opération de comptage physique des personnels de l’État (COPPE) s’apprête à franchir une étape décisive. En effet, le président Paul Biya a donné des instructions fermes pour boucler la phase contentieuse de cette opération au cours de l’année 2025. « Cette décision marque une volonté politique claire d’assainir la fonction publique camerounaise, gangrenée par des pratiques frauduleuses. L’objectif de cette vaste opération est double : d’une part, identifier et radier les agents publics qui perçoivent indûment des salaires, et d’autre part, améliorer la gestion des ressources humaines dans l’administration publique », commente le journal. En supprimant les postes fictifs et en rationalisant les effectifs, le gouvernement entend réaliser des économies substantielles et libérer des marges de manœuvre pour financer des projets d’investissement.
Le quotidien Mutations parle lui aussi des absences irrégulières, et nous apprend que 6000 fonctionnaires sont en sursis. Le journal indique que le président de la République a instruit les autorités compétentes de lancer la phase contentieuse du recensement physique des personnels de l’État. Paul Biya prescrit par ailleurs la poursuite de l’assainissement du fichier solde de l’État en 2025.
La France prévoit 4300 visas pour la mobilité étudiante au Cameroun pour l’année académique 2024 – 2025. Ce nombre est en hausse de 10 % par rapport à 2023, selon les déclarations de Thierry Marchand, ambassadeur de France au Cameroun. Plus de précisions à retrouver dans La Voix des Jeunes.
La région du Sud-Ouest a été réintégrée dans l’industrialisation nationale. A en croire InfoMatin, le constat fait, le 24 octobre à Tiko, par le Minmidt par intérim, Pr Fuh Calistus Gentry, lors de la visite d’une usine de production et d’embouteillage d’eau minérale, de boissons gazeuses et lactées, souligne la naissance de nouvelles industries. « Le retour à la stabilité, ainsi que l’accompagnement du gouvernement, font de cette région une destination privilégiée pour les investisseurs », peut-on lire.
Selon le quotidien Le Drapeau, le ministre des Travaux publics a accueilli Son Excellence Matt Woods, nouveau haut-commissaire du Royaume-Uni au Cameroun, le 23 octobre 2024. Les discussions entre les deux hommes ont porté sur la collaboration entre les deux pays, notamment le projet de construction de la route Ebolowa-Akom II-Kribi. Ce projet de 179,279 km est financé par la banque Standard Chartered et l’État camerounais, avec un coût total de 20 391 762 062 F CFA.
Le bihebdomadaire La Voix Des Entreprises renseigne que le 19 octobre 2024, le Crédit Communautaire d’Afrique-Bank (CCA-Bank) a procédé à l’inauguration de son immeuble siège à Douala, un événement marquant pour cette institution engagée en faveur de l’inclusion financière et de l’égalité des genres. Ce bâtiment moderne, véritable centre névralgique, témoigne de l’ambition de la banque de renforcer sa présence sur le marché camerounais.
