Le journal Confidentiel donne ce matin, quelques confidences sur les non-dits de la sortie du Pr Titus Edzoa relativement à la transition politique au Cameroun. A quelques mois de l’élection présidentielle au Cameroun, renseigne le journal, « l’ancien secrétaire général à la présidence de la République, se dit favorable à la mise en place d’une transition politique au Cameroun. Ce qui a fait l’objet de nombreuses critiques, aussi bien au sein de l’opposition que du gouvernement ».
L’Indépendant se projette sur le troisième président de la République du Cameroun. « Dans un environnement de haine, de complots, de manipulations et de tentatives des lobbies à vouloir désorienter les décisions du chef de l’Etat contre leurs potentiels rivaux pour la course à la succession, tous les coups semblent permis », peut-on lire. Mais, peut-il y avoir un fauteuil pour deux Présidents, maintenant ou après Paul Biya? La réponse à découvrir dans le journal.
Mutations traite ce matin, de l’actualité au Parlement, notamment au Senat, où l’absence du président semble être à l’origine des deux semaines d’inactivité des sénateurs et députés. L’agenda crucial de cette session parlementaire devrait être déroulé dès cette semaine, nous dit le journal.
InfoMatin de ce matin nous apprend que l’immunité du député Jean Michel Nintcheu pourrait bientôt être levée. En effet, explique le journal, le leader du Fcc, par ailleurs promoteur de l’Alliance politique pour le Changement (Apc), déclarée illégale par les pouvoirs publics, est dans le collimateur du pouvoir, en raison de ses accointances avec le président autoproclamé de l’État imaginaire d’Ambazonie, Ayuk Tabe.
Dans un contexte où les PME constituent le pilier de l’économie camerounaise, leur développement est souvent freiné par un manque de compétences entrepreneuriales. Pour lever ces obstacles et garantir leur succès, le ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Économie sociale et de l’Artisanat (Minpmeesa) vient d’outiller 30 formateurs aux techniques espagnoles. Les détails sont à retrouver dans les colonnes d’EcoNews.
Le Gimac forme 90 utilisateurs du système « Gimacpay» Un nouveau système. Ils ont été édifiés sur les différentes solutions de paiement instantanées et d’interopérabilité intégrale déployées par le Gimac au cours d’un atelier organisé la semaine dernière à Douala par le Gimac et Africa Nenda. L’information est détaillée dans les colonnes de Le Financier d’Afrique. « Gestion des droits d’auteurs : La Cmc pour la légalité », titre ce matin, La Voix des Jeunes. Dans son édition en kiosque, le journal nous apprend que la Cameroon Music Corporation (CMC) reste ferme sur sa position concernant le débat autour des arriérés de redevances pour la période 2005-2017. Son président, Sam Mbende, en véritable érudit des questions des droits d’auteurs, demande le respect du protocole d’accord signé en octobre 2020 entre la CRTV et les quatre OGC agréées avant décembre 2017.
L’affaire James Mouangue kobila fait la Une de Le Jour. Alors qu’une procédure pour harcèlement sexuel est pendante devant le Tpi de Yaoundé Centre administratif contre le président de la Commission des droits de l’Homme du Cameroun, ce dernier a saisi à son tour le tribunal contre son ex-collaboratrice pour diffamation.
Parlons de Leadership et gouvernance. Le quotidien Échos Santé nous fait savoir ce matin que moins de 20% de femmes occupent les postes de décisions au Ministère de la Santé. D’après Dr Nicole Fouda Mbarga, présidente de Women in Global Health Cameroon, il faut continuer le plaidoyer auprès du gouvernement pour que le personnel de santé féminin qui est majoritaire dans le système de santé puisse être nommé dans les postes de prise de décisions ou de leadership. À ce jour, aucune femme n’est directeur général d’un hôpital général au Cameroun, seules deux femmes occupent la fonction de délégué régional de la santé et pourtant elles sont diplômées, qualifiées et expérimentées pour occuper toutes les fonctions dans le système de santé.
Le maire de la Commune de Yaoundé 5 est dans le viseur du Conseil supérieur de l’Etat. Outre les conditions de travail exécrables qu’il impose à ses administrés, Augustin Balla, « connu pour son leadership controversé est accusé de nombreuses fautes de gestion et de malversations financières ». Des faits assez graves dont il devrait répondre devant le Contrôle supérieur de l’Etat (Consupe) dans les prochains jours. L’information est une exclusivité de Le Zénith en kiosque ce matin.