C’est ce qui ressort du rapport Global Livability Index 2017 publié par The Economist Intelligence Unit.
D’après le quotidien Le Messager du mercredi 6 aout 2017 qui a relayé l’information, l’étude s’est effectuée sur 140 villes et les critères de notation se fondent sur l’accès aux soins de santé, à l’éducation, à la culture, de la qualité des infrastructures, de l’environnement et enfin la stabilité. Pour cela, à la suite d’une analyse, la ville de Douala a obtenu une note de 25 pour l’accès aux soins, loin derrière Tripoli (41,7) ou encore Damas (29,2), et une cote de 33,3 pour l’offre en terme d’éducation. Agglomération en chantiers, Douala obtient à ce classement une moyenne de 42,9 pour l’annotation des infrastructures et 48,4 pour la culture et l’environnement.
Parmi les autres villes classées parmi les moins habitables, nous retrouvons Lagos, Alger, Tripoli, Damas et Hararé. Cette dernière métropole constitue avec Abidjan les deux capitales africaines qui ont réalisé le plus de progrès ces cinq dernières années, peut-on lire dans le journal. Cependant, seulement les villes de Johannesbourg et Pretoria d’Afrique du Sud figurent dans le Top 100 de ce classement.
La ville Melbourne en Australie arrive en tête des villes les plus habitables de la planète.