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Le Général Jim Mattis et le réseau social Snapchat accusent Donald Trump d’inciter à la « violence raciale » et « diviser » l’Amérique

Trump Mattis

Depuis la réaction de Donald Trump le 1er juin dernier au sujet de la mort de George Floyd, l’Afro-américain de 46 ans asphyxié par un policier blanc aux USA, il essuie des critiques et accusations de toutes parts.

Trump Mattis
Jim Mattis & Donald Trump (c) Droits réservés

« Je mobilise toutes les ressources fédérales, civiles et militaires, pour stopper les émeutes et pillages, destructions et incendies. Et protéger les droits des Américains, y compris le 2ème amendement … Si une ville ou un État refuse de prendre les mesures qui sont nécessaires pour défendre la vie et les biens de leurs habitants, alors j’enverrai l’armée américaine et résoudrai rapidement le problème pour eux », tels sont les propos de Donald Trump à destination des manifestations qui protestent contre le racisme au pays de l’Oncle Sam en rapport avec l’actualité.

A peine il s’est pour la première fois exprimé sur la mort de ce Noir sur ce ton que le patron de la Maison blanche reçoit des flèches.

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Donald Trump accusé de d’inciter à la « violence raciale »

Selon le média français LCI, « Le réseau social Snapchat accuse Donald Trump d’inciter à la ‘’violence raciale ». De ce fait, Snapchat « stoppe officiellement la promotion de ses publications ».

Notre confrère rapporte que les messages de l’actuel président restent néanmoins visibles par ses abonnés et apparaissent lorsque qu’un internaute fait une recherche spécifique.

Le Général Jim Mattis courroucé

Dans une déclaration de l’ancien ministre de la Défense américain mise en ligne par la revue The Atlantic, il estime que Donald Trump n’essaie pas de rassembler les Américains : « De mon vivant, Donald Trump est le premier président qui n’essaye pas de rassembler les Américains, qui ne fait même pas semblant d’essayer », déclare-t-il avant de se justifier : « Au lieu de cela, il tente de nous diviser ».

Sur ces entrefaites, l’ancien commis du pays de l’Oncle Sam n’a pas manqué de placer un mot sur le mandat de Donald Trump : « Nous payons les conséquences de trois années sans adultes aux commandes », a-t-il regretté.

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