Le football camerounais perd l’une de ses jeunes pépites en la personne de Jean Éric Moursou, milieu de terrain de 19 ans. Il a quitté Coton Sport de Garoua pour s’engager avec Valenciennes, club de Ligue 2 en France. Cette nouvelle acquisition a été confirmée par le club français, mais la durée du contrat ainsi que le montant du transfert n’ont pas été divulgués.
Moursou est considéré comme l’un des espoirs les plus prometteurs du football camerounais et a déjà fait ses preuves sur le terrain. Doté d’une puissance et d’une technique impressionnantes, il a été récompensé du prix du meilleur espoir du championnat camerounais lors de la récente cérémonie du Ballon d’Or en décembre dernier.
Le jeune joueur suit ainsi les traces de son illustre prédécesseur, Vincent Aboubakar, qui a également fait ses débuts à Coton Sport de Garoua avant de rejoindre Valenciennes en 2010. Cette signature avait marqué le début d’une carrière fulgurante pour Aboubakar, qui a ensuite évolué avec succès à Lorient puis à Porto et est devenu par la suite le capitaine des Lions indomptables.
Moursou sur les traces d’un illustre aîné
Jean Éric Moursou aspire à une trajectoire similaire et espère suivre les pas de son aîné vers une carrière brillante. Son départ vers Valenciennes représente une ascension dans sa jeune carrière sportive. Pour Coton Sport, le départ de Moursou représente une perte significative, mais c’est aussi une reconnaissance du travail accompli par le club dans la formation de jeunes talents et dans la promotion du football camerounais à l’échelle internationale.
Alors que Jean Éric Moursou entame ce nouveau chapitre de sa carrière, les fans du football camerounais restent attentifs à ses performances et espèrent le voir briller sur les terrains pour porter haut les couleurs de son pays à l’étranger.
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Les Camerounais se dévalorisent de plus en plus. Signer dans un club de 2e division française qui est loin d’aspirer jouer au 1er niveau est une très mauvaise option. Pourquoi n’avoir pas eu la patience d’attendre encore un an et de confirmer dans coton sport afin de décrocher un contrat au plus haut niveau dans l’un des 5 grands championnats européens ? Un de ses compatriotes avait eu la même impatience et est parti de cette manière en Afrique du sud, on n’en entend plus parler.