Le Mouvement « 30 millions des Frankistes », qui soutient la candidature de Franck Biya à la prochaine élection présidentielle au Cameroun, a réagi à l’élection de Bassirou Diomaye Faye à la présidence du Sénégal non sans exprimer sa conviction qu’un changement similaire est possible dans le contexte camerounais.
Dans leur message, le mouvement célèbre l’élection du Chef de l’Etat de 45 ans, un symbole de jeunesse, de confiance et de changement pour l’Afrique. Les Franckistes voient en lui, un leader représentant une nouvelle génération de leaders, portant une vision d’espoir et de progrès pour le continent. Parallèlement, le mouvement affirme que Franck Emmanuel Biya incarne également ces valeurs de renouveau et d’aspiration pour un Cameroun souverain et prospère.
Franck Biya, le Bassirou Diomaye Faye du Cameroun selon les Franckistes
« Dans l’esprit de renouveau et d’aspiration qui caractérise la jeunesse africaine, nous célébrons l’élection de Bassirou Diomaye Faye, le nouveau président du Sénégal, un leader qui incarne la jeunesse, la confiance et le changement. Son ascension au pouvoir symbolise un tournant pour l’Afrique, où la voix des jeunes résonne avec force et détermination. Dans cette même veine d’espoir et de progrès, nous avons notre propre champion en la personne de Franck Emmanuel Biya. Comme le président Faye, Franck Biya représente une nouvelle génération de leadership, un esprit non conformiste et une vision pour un Cameroun souverain et prospère », écrit le mouvement 30 millions de Frankistes par l’intermédiaire de Germaine Bilogué, une figure de proue du Franckisme, femme politique camerounaise établie dans la diaspora.
Franck Biya se distingue de leur point de vue, comme un citoyen ordinaire partageant les mêmes rêves et aspirations que la jeunesse camerounaise. Les Franckistes le décrivent comme un candidat non conventionnel, n’ayant jamais occupé de postes ministériels ou universitaires, mais représentant les idéaux de la gauche et du souverainisme, s’opposant fermement aux systèmes établis qui ont entravé le progrès dans le pays.