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Litige foncier dans la Vallée du Ntem : La solution se trouve dans le projet de société de Cabral Libii selon sa porte-parole

Cabral Libii - DR
Cabral Libii - DR

Dans une sortie Facebook effectuée le 3 août 2020, Anne Féconde Noah fait savoir que le problème d’acquisition illégale de terres qui monopolise les attentions depuis des semaines dans le département de la Vallée du Ntem, région du sud Cameroun est solutionné par les dispositions prévues par le projet de société de Cabral Libii intitulé «Un Cameroun qui protège et qui libère les énergies». Lebledparle.com vous propose ci-dessous, l’intégralité de son texte.

Cabral Libii 1
Cabral Libii (c) Droits réservés

Les Concessions Foncières A Problème Ne Sont Pas Une Fatalité : Le Sentiment D’appartenance Etatique Passe Par La Propriété !

La solution du problème au cœur du projet de concessions foncières de la vallée du Ntem, aux tensions autour de la socapalm (entre Eseka et Messondo, se trouve dans le projet de société d’un cameroun qui protège et qui libère les énergies. Nous avons clairement dit qu’une fois au pouvoir, nous allons permettre aux communautés rurales et semi-rurales d’obtenir des titres fonciers gratuitement. Une fois détenteurs de ce précieux document, ces communautés pourront faire des transactions en toute liberté à des investisseurs qui veulent s’installer chez elles.

L’investisseur mettra le prix qu’il faut pour avoir la terre à la hauteur de son projet économique et les populations pourront tirer les premières retombées de cet héritage foncier, don du ciel et de leurs aïeux.

La facilitation de l’obtention du titre foncier permettra de :

1- Donner une valeur juridique et des droits de propriété aux terrains ruraux ;

2- Donner une valeur monétaire aux terrains ruraux, utile pour une la levée d’un financement (terrain hypothécable en banque) ou pour une transaction immobilière (avec l’investisseur en question);

3- Faire entrer le libéralisme communautaire dans le monde rural (Les communautés rurales vendraient leur terres à un investisseur parce qu’elles sont dans le besoin et non parce qu’elles ont été forcées). Cela aurait le bénéfice de diminuer le sentiment d’expropriation.

Tout ceci n’est pas fait maintenant parce que les communautés villageoises n’ont pas les moyens d’immatriculer leurs terres et d’en acquérir les droits de propriété qui restent confisqués par l’Etat et ses fonctionnaires parfois véreux au nom du domaine national.  Les procédures sont très fastidieuses et les coûts des démarches administratives prohibitifs.

Les citoyens subissent l’Etat jusque dans leurs derniers retranchements. Et c’est cela qui augmente la méfiance et l’indifférence vis-à-vis de tout ce qui administratif. Celui qui incarne l’autorité étatique est vu comme bourreau ou agresseur.


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