Le militant et communicant du Rdpc conteste l’idée que la crise au sein de la FECAFOOT est principalement liée au tribalisme et souligne d’autres facteurs, notamment les promesses électorales non tenues et les exclusions de certains acteurs clés. Il affirme que la situation est plus complexe que ce qui est suggéré dans le discours d’Abel Elimbi.
Lebledparle.com vous propose le texte intégral.
Abel Elimbi est à côté de la plaque.
1) Ce sont les présidents de Club ressortissants de l’ouest qui ont pour la plupart porté Samuel Eto’o au perchoir de la fecafoot. Justin Tagouh fut son porte-parole en mondo vision. Il y’a eu une union sacrée autour de lui. Ce n’est donc pas une crise du tribalisme.
2) Samuel Eto’o est dans le positionnement du leadership du football depuis des années. Le Pr Mathias Eric Owona Nguini l’avait bien expliqué. C’est Samuel qui positionne Me Happy à la normalisation et Seydou Mbombo Njoya comme président, tous de l’ouest. Il n’y a pas une levée de boucliers uniquement des acteurs du football de l’ouest contre Samuel.
3) Les promesses électorales font défaut. Beaucoup des acteurs avec lesquels il a gagné les élections sont exclus ou radiés. Le président de la ligue de football de l’ouest fut radié. Tous les fronts qui s’allument créés une crise aiguë et un brasier organisationnel.
André Luther Meka