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Marc Brys : « Je dois choisir qui est sur le banc et qui n’y est pas »

Lors de la conférence de presse après le match nul 0-0 contre l’Eswatini, l’entraîneur des Lions Indomptables a encore déploré le fait que son assistant soit mis dans les tribunes au lieu d’être avec lui sur le banc de touche.

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Marc Brys -DR

Le problème de Joachim Mununga sur le banc des Lions Indomptables ne trouve pas toujours de solution. Alors que Marc Brys estime que ce dernier est plus compétent que les adjoints Ntoungou Mpilé et David Pagou, mardi dernier à Nelspruit, il a été à nouveau privé de son assistant, ce qu’il ne digère pas. En conférence de presse après le match nul 0-0 contre l’Eswatini, Brys est revenu sur ce cas en estimant que l’absence de son assistant aurait aussi beaucoup joué sur le résultat du match. « Quand nous faisons quelque chose de mauvais, nous devons en tirer des enseignements pour faire mieux. C’est une situation face à laquelle nous ne pouvons pas lutter. Une fois de plus, mon assistant n’est pas sur le banc. Encore une fois, il y a beaucoup de négativité », a déclaré le sélectionneur des Lions Indomptables.

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Marc Brys, invite les responsables de la Fédération camerounaise de football à prêter l’oreille au discours du président de la République qui, lors de ses discours appelle à une sérénité autour de l’équipe nationale. « Si le Président du Cameroun dit que ça doit s’arrêter, et tout le monde est d’accord là-dessus, je dois choisir qui est sur le banc et qui ne l’est pas ; je prends tous ceux de la FECAFOOT parce qu’il y a toujours cette situation entre la FECAFOOT et nous. Je mets quatre coaches sur le banc mais j’en ai besoin d’un et celui dont j’avais besoin n’est pas sur le banc », a déplore le Belge.

Ensuite, le patron du banc de touche des Lions Indomptables exhorte son entourage à créer des conditions favorables pour qu’il puisse mener à bien son travail. « Je ne suis contre personne. Ce n’est pas mon combat ici. Je suis venu ici pour performer mais c’est toujours une situation hostile que je ne veux pas. Laissez-moi tranquille, laissez-moi travailler », exhorte-t-il.


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