Un Etat fainéant
Dans la première déclaration, Pascal Charlemagne Messanga Nyamding qualifie l’État de « fainéant », suggérant ainsi une critique de l’efficacité ou de la performance du gouvernement ou de l’administration de l’État. Il exprime un mécontentement vis-à-vis de la situation actuelle. « Nous sommes aujourd’hui face à un État fainéant », déclare Pascal Charlemagne Messanga Nyamding dans 7 Hebdo sur STV.
L’envie de gouverner
Dans la deuxième déclaration, il déclare ses intentions de gouverner le pays, indiquant son ambition politique. Il mentionne également qu’il a soutenu le chef de l’État, mais que certaines personnes ont dépassé une « ligne rouge » et prennent le président en otage. Cette déclaration semble impliquer une divergence d’opinion ou un mécontentement concernant la direction politique actuelle du pays. « Il est très important de déclarer ses intentions. J’aspire à gouverner ce pays. J’ai soutenu le chef de l’Etat jusqu’à une ligne rouge qui a été dépassée par certaines personnes qui le prennent en otage », précise Charlemagne Messanga Nyamding dans 7Hebdo sur STV.
Ces déclarations suggèrent un environnement politique tendu au Cameroun, avec des voix dissidentes et des désaccords au sein de la classe politique. Elles soulignent également l’importance des débats et des opinions divergentes dans un système politique démocratique au Cameroun.