Dans une récente sortie, le journaliste de sport Martin Camus Mimb se demande pourquoi les responsables de l’établissement sont encore en poste au Lycée de Deido, après le décès vendredi 29 mars du petit blériot suite à un coup de poignard lors de la remise des bulletins.
« Si ce drame avait eu lieu dans un établissement privé, à l’heure où j’écris ceci, on aurait déjà publié un communiqué sur « hautes instructions », pour fermer l’établissement et livrer les Responsables à la vindicte populaire, non sans stigmatiser toutes les horreurs les plus imaginaires pour justifier tout », écrit le patron Radio Sport international (RSI), émettant depuis Douala.
« Pourquoi les responsables de cet établissement sont-ils toujours en poste? », se demande le journaliste pour qui ceux-ci « sont fautif de bout en bout »
Il s’insurge contre a négligence qui a entrainé le meurtre. « Comment une objet dangereux traverse-t-il aussi facilement un portail où la fouille des sacs et la vigilance sont de mise? », s’interroge Matin Camus Mimb.
Pour lui, il faut balayer toute l’administration de cet établissement qui a failli à sa mission d’éducation et de dissuasion. Il estime que ces valeurs, étaient de mise chez les encadreurs à une certaine époque. « Probablement il y en a qui me sont proches sans que je ne le sache. Mais tous ont failli. Que ce soit celui qui est décédé ou celui qui ira en prison, deux familles sont dans la détresse après vous avoir confié leur progéniture pour quelques heures…Vous leur devez des comptes! », conclut Camus Mimb.