in

Michel Ngatchou : « Demandez à Clément Atangana d’arrêter de pleurer »

Pour le journaliste, on dirait à la limite qu’à travers ses sorties à l’adresse de Equinoxe tv et Cameroon tribune, Clément Atangana pleure. Mais l’ancien présentateur de « 10 – 12 Le Zénith » estime que ces « pleurs » n’émeuvent en aucun cas les Camerounais.

Michel Ngatchou
Michel Ngatchou - DR

C’est une veille d’élection présidentielle électriques pour Clément Atangana.  Le président du Conseil Constitutionnel est « mangé dans toutes les sauces » depuis quelques jours, sur la scène polémique Camerounaise. En effet, alors qu’il est considéré comme l’arbitre du jeux politique au Cameroun, celui-là même qui doit prononcer la validation de l’élection d’un candidat à l’élection présidentielle, Clément Atangana a été perçu dans une réunion des élites du Nyong et So’o à Mbalmayo. Au cours de cette réunion, les participants auraient lu une motion de soutien à une candidature du président de la République à l’élection présidentielle de 2025.

L’affaire éclate dans l’opinion publique avec la publication d’un article dans le numéro de Cameroon tribune du 30 octobre 2024, provoquant une vive polémique dans les réseaux sociaux, non sans indigner Clément Atangana. Après avoir menacé Equinoxe Tv, le conseil du juge constitutionnel s’est attaqué à Cameroon Tribune.

Pour approfondir :   Cameroun : Ernest Obama annoncé en grandes pompes à B-News 1 à partir du 15 janvier 2021

« Les pleurs de Clément Atangana »

Pour le journaliste Michel Ngatchou, on dirait à la limite qu’à travers ses sorties, que Clément Atangana pleure. Mais le journaliste estime que les « pleurs » de Clément Atangana n’émeuvent en aucun cas les Camerounais.

« Demandez à Clément Atangana d’arrêter de pleurer. La nation entière est convaincue qu’il est illégitime et ne mérite aucune reconnaissance du peuple camerounais. Conscient de ce que les audjoulatistes soient dans la manœuvre de conservation du pouvoir et qu’il ne soit pas débarqué de sitôt, nous persistons et signons que les droits de réponse ne sont que l’avis du mis en cause et non la réalité », écrit le journaliste.

Pour approfondir :   La revue de presse camerounaise du vendredi 5 avril 2024

« Monsieur pour faire montre de votre sens d’honneur, habile à faire respecter la constitution, vous ne l’aviez pas fait, alors jetez l’éponge », a-t-il ajouté dans une publication, sur sa page Facebook.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Sa

Exclusif : Samuel Eto’o annonce sa candidature à la CAF

Sans titre 66

Samuel Eto’o : « Le siège de la FECAFOOT est en travaux… en milieu d’année prochaine, nous pourrons y aménager »