La présidente du comité d’organisation de Miss Cameroun (COMICA) est l’invité de Rodrigue Tongue dans le cadre de l’émission l’Arène sur les antennes de canal 2 international.
L’interview de Ingrid Solange Amougou, qui sera menée par trois journalistes sera sans doute axée autour de la vive polémique née au lendemain de la destitution de Julie Frankline Cheugeu Nguimfack du poste de Miss Cameroun 2016, en remplacement de sa quatrième dauphine Ange Minkata. Et qui continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive.
La présidente du COMICA qui a décidé de descendre dans l’arène ce dimanche 12 février 2017 pour croiser le fer avec les journalistes George Parfait Owoundi de Mutations, Thierry Edjegue, chroniqueur culturel, va certainement répondre aux accusations faite par l’ex Miss Cameroun dans sa lettre ouverte du 28 janvier 2017. Ingrid Solange Amougou se défendra et répondra aussi à toutes autres accusions lancées à l’endroit de son organisation. La troisième dauphine qui est sortie de sa réserve le 3 février dénonçait elle aussi les irrégularités au COMICA. Roxy KATE déplorait l’absence d’accompagnement financier du COMICA pour des activités. L’artiste Dynastie le Tigre, lors de son passage dans l’émission Bonjour le Cameroun sur la CRTV, a révélé que le COMICA lui doit encore 500 000 Fcfa d’impayés, pour sa prestation à la finale de Miss Cameroun 2015.
Au cours de cette émission les téléspectateurs de l’Arène vont assister au duel entre Ingrid Solange Amougou et Jean François CHANNON, Journaliste au quotidien le Messager et critique évènementiel. Le combat verbal va être coordonné en plateau par Rodrigue Tongue.
La destitution de Julie Cheugueu est considérée comme l’un des plus grands feuilletons culturels depuis le début de cette année 2017. Internautes, journaliste hommes politiques… Chacun s y mêle et n’hésite pas à vouloir se faire entendre. Pour Hilaire Kamga mandataire de l’offre Orange, «il faut que cela soit clair, ni Dame Amougou ni le COMICA, n’a plus les qualités pour destituer Julie de Miss Cameroun», affirmait-il. Le 1er février 2017, Boris Bertolt, Journaliste, a poussé le bouchon plus loin, « une information judiciaire aurait été déjà ouverte contre Ingrid Amougou et la gestion de Miss Cameroun », a-t-il déclaré.