L’épidémie de variole du singe, ou Mpox, est devenue un problème de santé publique majeur depuis sa réapparition en République Centrafricaine. Pour endiguer cette épidémie, l’OMS a prescrit une série de mesures aux pays africains, dont l’organisation de séances de vaccination.
Nathalie Yamb trouve cette mesure contradictoire. Selon elle, les pays européens semblent « plus exposés » à cette maladie, une vulnérabilité attribuée à leur « tendance LGBT », selon une source officielle russe.
La militante a exprimé ses inquiétudes concernant la vaccination contre la variole du singe, la considérant comme un nouveau moyen de contraindre les Camerounais et les Africains à une vaccination de masse.
Déclaration complète de Nathalie Yamb :
« En Suisse, comme dans le reste du monde, on observe que la MPOX touche particulièrement (mais pas exclusivement) les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), ainsi que les personnes transgenres qui ont des partenaires sexuels masculins et en changent régulièrement.
Le risque est faible pour la population générale.” – Source : Office fédéral de la santé publique. Et après, c’est pour venir dire qu’il faut vacciner massivement les Africains… »