Dans une publication sur son mur Facebook, ce mardi 21 mai 2019, Mathias Eric Owona Nguini s’adresse à « l’opposition saine ». Le Socio-politiste demande à cette opposition de se préserver de la conduite des zélotes tontinards, atteints de Biyaphobie poussée selon lui. Il appelle le MRC, une « opposition désaxée ». Lebledparle.com, vous propose l’intégralité de cette sortie sur les réseaux sociaux.
Il faut que l’opposition saine se préserve pour ne pas être contaminée par la mythomanie caractérisée et la dénégation délirante de la réalité par l’opposition affolée des zélotes tontinards atteints de biyaphobie maniaque. Ceux qui entendent pratiquer une saine politique d’opposition pour faire concurrence à la perspective gouvernante d’action, ont un ennemi inattendu : l’opposition désaxée. Celle-ci est véritablement atteinte d’une vraie pathologie psycho-politique et psycho-idéologique car sa démarche d’opposition robuste a été corrompue par sa dérive dans le fanatisme politique fondé sur l’intégrisme de la pensée et la propension à l’intolérance ethniciste ainsi que l’ inclination en faveur de la démagogie mythomane. Même si les leaders et cadres associés à cette opposition dévoyée par le sectarisme affectent de se poser en dirigeants gouvernés par le bon sens et le rationalisme politiques, eux-mêmes voient leur discernement perverti par l’accoutumance au dogmatisme politique et au culte fétichiste du leader et des cadres. Souvent, ce sont ces dirigeants qui alimentent la violence verbale ou réelle expressive de l’orientation fascisante paradoxale de ces groupes d’opposition. Où l’on voit alors que ces acteurs d’opposition ne se fondent pas sur une politique de l’idée et du principe et une politique de la réflexion et de la discussion, mais plutôt sur la politique des instincts et pulsions et/ou une politique des intérêts et des intrigues. On ne saurait être étonné de la dérive pseudo-messianique et crypto-prophétique de certain de ses groupes d’opposition complètement empêtré dans une politique de l’opportunisme cynique et de l’intégrisme chronique.la secte des suiveurs hypnotisés et médusés de » président élu » est typique de cette dérive dans l’aliénation fanatique et obsessionnelle. En effet, souvent excités par leurs meneurs, les sociétaires du parti-tontine et leurs partisans ont dérivés dans une conception de la politique gouvernée par le fanatisme obsessionnel et le sectarisme mythomane. Ainsi, il n’est pas étonnant que ces politiciens désaxés versent dans le marécage de fake news censés discréditer le groupe gouvernant mais qui ont un effet radicalement destructeur sur la réputation de leur formation ainsi que sur la crédibilité de leur ligne d’opposition. Ce sont en effet les zélotes du parti-tontine qui ont de manière récurrente véhiculé le mensonge éhonté de la mort du président Paul Biya et de sa substitution par un sosie. Ce sont toujours les zélotes tontinards pratiquant la forme déceptrice du hooliganisme communicationnel, qui ont publié le pétard mouillé du décret de délégation permanente de signature accordé par le président Paul Biya au secrétariat général de la présidence de la république Ferdinand Ngoh Ngoh, faisant faussement croire qu’il s’agit d’une matérialisation de la perspective d’une succession de gré à gré par laquelle Paul Biya entreprenait de transférer le pouvoir à Ferdinand Ngoh. Encore une fois, entraînées par leur aversion maladive pour Paul Biya, les zélotes tontinards ont plongé une nouvelle fois dans le déni de la réalité au point d’être intoxiqués par leurs propres mensonges et phantasmes. Beaucoup de ces hurluberlus croient ou font croire que c’est vraiment l’entourage de Paul Biya qui contrôlerait aujourd’hui les commandes du pouvoir central. certains d’entre eux ont même juré que le décret de délégation permanente de signature bénéficiant à Ferdinand Ngoh Ngoh était un décret de délégation de fonctions !!! on voit les mêmes détracteurs aigris et exténués par la longévité gouvernante tenace du président Paul Biya sans aucun code de civilité pour son vénérable âge , qui ne se gênent pas pour épingler ce leader en lui attribuant une démence sénile ou une sénilité démente !!! dans cet ordre d’idées, ils s’enfoncent loin sur le chemin du déni et de la dénégation, en laissant croire que Paul Biya aurait perdu son intégrité mentale au point d’être devenu un pantin désarticulé placé sous le contrôle de la première dame Chantal Biya et d’une clique verrouillant sa cour. ainsi, le geste de tendresse et d’amour par lequel la première dame a pris son bras pour lui indiquer la nécessité de saluer certains de ses invités positionnes dans les jardins du palais de l’unité, à l’occasion du dîner de gala offert pour la célébration de la fête nationale ,le 20 mai 2019,est devenu le lieu de spéculations saugrenues sur le fait que ce geste exprimait l’ emprise incontestable de la première dame sur le président !!! en fait, la biyaphobie a fait disjoncter ces sociétaires et partisans de la secte tontinarde traumatisés par la longévité gouvernante endurante de Paul Biya qui obsédés par sa disparition, sont prêts à fabriquer toutes les fake news délirants pour compenser leurs frustrations de ne pas être (devenus) califes à la place du calife. leur aversion radicale pour Paul Biya est aussi ce qui explique l’agitation folle par laquelle dans un autre déni de réalité, sans le moindre début de preuve, les zélotes tontinards s’auto- suggèrent en se faisant croire à eux-mêmes que leur gourou tonton maurika est le » président héluh « !!! ils s’enfoncent petit à petit dans un surréalisme producteur de tensions mentales car la réalité semble se plaire à évoluer dans un sens opposé à celui que leurs désirs, souhaits, croyances et opinions expriment !!! pourtant avec une foi démesurée qui relève du fanatisme ,ces zélotes prennent leurs fantasmes pour des réalités d’autant plus que celles-ci s’en éloignent concrètement.la politique misérable de l’ aigreur impuissante les installe durablement dans une propension à la mythomanie qui s’illustre précisément par la croyance exacerbée aux fake news. Tout ceci montre pourquoi une politique sérieuse d’opposition n’a aucune chance de se consolider comme perspective de rechange si elle veut exclure le principe de réalité et verser dans les excès d’une politique basée sur un sentimentalisme déréglé qui n’a de moteur que dans l’antipathie folle que la raison ne sait pas ni ne peut discipliner.