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Pierre Blériot Nyemeck : « Tous les malheurs qui arrivent aux Camerounais sont mérités, il en faut plus »

Ainsi s’est exprimé ce consultant d’Info TV lors de l’émission dominicale LIBRE EXPRESSION. Pour lui, déplacer les élèves d’un collège de la place pour applaudir Samuel Eto’o au stade Ahmadou Ahidjo vendredi dernier est « de la sorcellerie ».

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Pierre Blériot Nyemeck -DR

Il est remonté et ne le cache pas ce dimanche, 12 octobre, dans l’émission Libre Expression sur la chaîne privée camerounaise INFO TV. Le consultant de ce dimanche n’en revient pas après le déplacement de près de 500 élèves du collège Saint Benoît au stade Ahmadou Ahidjo lors du match Cameroun vs Kenya. En effet, lors de la rencontre qui s’est soldée par une victoire de 4-1 en faveur du Cameroun, les élèves ont scandé le nom de Samuel Eto’o dans les gradins. Une chose que Pierre Nyemeck n’apprécie pas et qu’il n’hésite pas à assimiler au ridicule de la part du président de la FECAFOOT, Samuel Eto’o.

A lire la réaction de Pierre Blériot Nyemeck proposée par Lebledparle.com

« Tous les malheurs qui arrivent aux Camerounais sont mérités, il en faut plus. On ne peut pas pousser la mauvaise foi jusqu’à ce point-là. Vous savez, ont doit jouer à Kampala (en Ouganda, ndlr) une seconde fois contre le Kenya Et parce qu’on s’est rendus compte que André Onana est très populaire de ce côté-là, on a demandé un huis-clos. On est allés même ramasser ce qui est contre la pédagogie : les enfants en tenue de classe pour aller faire ce que le RDPC fait souvent quand Biya rentre au pays. C’est-à-dire allez applaudir au stade et crier « Eto’o ! Eto’o! » Mais comment on peut arriver à ce niveau du ridicule ? Et même le promoteur de cette école, je ne sais pas s’il a fait pédagogie, a pris des enfants en tenue de classe pour aller faire un travail politique. C’est-à-dire que Eto’o ne joue pas, il n’est même pas au stade mais on crie « Eto’o ». Vous avez déjà vu une autre sorcellerie que celle-là ? C’est du jamais vu ! »

 

Pour approfondir :   Éric Djemba Djemba : « Quand on partait jouer contre la Côte d'Ivoire, il nous disait "les gars, donnez-nous seulement 2-0" »

 


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