Le lancement officiel des inscriptions sur les listes électorales pour le compte de l’année 2019 a eu lieu ce mercredi 02 janvier 2019 dans la région du Centre. Ce lancement officiel a été présidé par Erick Essousse, le Directeur Général des Élections.
Les inscriptions vont se déroulées dans les antennes communales d’Elecam ou dans les points d’inscription délocalisés à cet effet. « Tous les Camerounais en âge de voter et non encore inscrits sur les listes électorales peuvent dès aujourd’hui se rapprocher de l’Antenne Communale Elecam le plus proche du lieu de résidence pour se faire enrôler », peut-on lire sur le compte twitter de l’organe en charge des élections au Cameroun.
L’année 2019 au Cameroun sera marquée par l’organisation des élections locales. Par rapport à cet enjeu, plusieurs camerounais sont interpellés à s’inscrire massivement par d’autres compatriotes. « ELECAM a repris du service depuis hier donc chers frères et sœurs allons massivement nous inscrire sur les listes électorales… Les législatives c’est cette année et on peut encore faire quelque chose… » écrit Colbie Medjom journaliste sur son compte twitter.
S’inscrire sur liste est important parce qu’il permet d’accomplir le dvoir civique de vote le moment venu et il ne faudrait que les votants manquent à l’appel civique et citoyen lorsque l’occasion va se pointer. « Pensez à vous inscrire sur les listes électorales si vous ne l’avez déjà fait… c’est important… Il ne faut pas que la prochaine fois on ait encore plus de personnes intéressées au vote que de votants », indique Flore Tanko Mbensi, journaliste sur son compte twitter.
Georges Lionel Messi pense qu’il faut s’inscrire pour faire bouger les choses. « Les gens qui n’ont pas voté en 2018 mais qui bavardent partout là. Il est temps de prendre vos responsabilités! Allez-vous inscrire sur les listes électorales pour faire bouger les choses », martèle-t-il sur son compte twitter.
En guise de rappel, l’opération d’inscription sur les listes électorales s’achève en principe le 31 aout de chaque année civile. Mais le processus peut être interrompue en cas de convocation du corps électoral par le président de la république.