Souvent cité comme un prétendant à la succession de son père, Paul Biya, au pouvoir depuis quatre décennies, Franck Biya n’a jamais commenté ces soupçons. Mais le fils du chef de l’État reste un militant engagé du parti au pouvoir.
Selon Jeune Afrique, Franck Biya a profité de son séjour pour animer, en toute discrétion, une réunion avec des cadres du parti et évoquer avec eux les moyens de mobiliser la diaspora en vue des futures échéances électorales, en particulier de la présidentielle de 2025. Une situation qui déferle la chronique sur les réseaux sociaux et fait les choux gras de la presse camerounaise.
Je suis vraiment très satisfait avec votre information