La journaliste et militante panafricaniste devait prendre part le 22 avril 2017 à Paris à une conférence, mais la France ne lui a pas donné de visa d’entrée sur leur térritoire.
La militante panafricaniste a été invitée par le journaliste et activiste français Michel Collon. Elle devait prendre part à la « grande conférence « GBAGBO CONTRE LA FRANCAFRIQUE » prévue le samedi 22 avril 2017, au Centre Maurice Ravel dans le 12ème arrondissement de Paris, au métro Porte de Vincennes. Au cours de cette conférence Michel Collon devait revenir « à travers la guerre menée contre Laurent Gbagbo » et « aux côtés de témoins majeurs de la crise ivoirienne sur les 5 principes du médiamensonge que l’on retrouve dans toutes les propagandes de guerre ». La journaliste camerounaise n’a pas été autorisée à se rendre dans la capitale française où elle était attendue. Des sources crédibles font savoir que l’ambassade de France au Cameroun lui a refusé le visa.
Henriette Ekwé devait intervenir comme témoin à l’instar de ses compatriotes les journalistes engagés Théophile Kouamouo et Carlos Sielenou, du professeur BALOU-BI, présenté comme un « ex-prisonnier politique du régime Ouattara », du professeur de droit Albert BOURGI, du militant anti-impérialiste Bernard GENET, du juriste et conseiller en relations internationales Robert CHARVIN, du porte-parole Europe de Laurent GBAGBO Bernard HOUDIN, de l’ancien délégué Afrique du PS Guy LABERTIT, du journaliste français François MATTEI, de la ministre en exil Clotilde OHOUOCHI, des avocats Maîtres Habiba TOURE, Seed ZEHE et Séri ZOKOU, de la « grande panafricaniste » Aminata TRAORE et de l’ancien ministre en exil et Ahoua DON MELLO dont les interventions devaient avoir lieu via Skype.